Nul n'est parfait et surtout pas les autres.

Mardi 1er novembre 2011 à 23:47

 
Tout d'abord je ne suis pas Elle mais moi. L'un dans l'autre, c'est vrai que l'on se ressemble mais tout de même, il y a des limites. Des principes à ne pas oublier. J'ignore ce qu'ils en pensent. Ce que je suis, ce que je montre. Ce que les gens croient. Au fond peu m'importe. Je ne suis pas Elle, c'est tout. On se distingue pars nos ressemblance. A cela, j'entend, ces petites choses qui font toute la différence. Même si pour certain ça ne compte pas. Jumelle, rivales, alliées .. Ce qui fait de notre "histoire" qu'elle est unique et qu'elle nous appartient. Ce soir en me connectant sur la toile, je n'aurais su dire que mes pensées te seraient destinée. Pourtant tu es là, dans ma vie, depuis longtemps ici, et j'aime ça. A ces moments que l'on passera encore. A ces âneries que tu débites sans cesse. A toi et ton écoeurante bonne humeur. Ces mots.

Jeudi 27 octobre 2011 à 16:38

 

Il est de ceux qui je l'avoue, n'ont pas vraiment changé ma vie. Ou alors très peu, pour ne pas dire que je n'en sais rien. Nos échanges durant trois ans n'ont sans doute pas été des plus significatif et pourtant il n'en reste pas moins Quelqu'un. Ailleurs, j'imagine qu'il a su trouver celle pour qui il comptait plus que tout. Au travers des yeux de qui il était un héros. Pourtant charmant, un poil cynique voir scénique sur les bords. Il en faisait parfois juste beaucoup trop. Et même si je sais que le but premier n'était sûrement pas de se mettre en avant - comme trop de gens le pensaient - mais simplement , d'essayer de se montrer et de se faire comprendre, l'ironie du sort c'est qu'à trop chercher le devant de la scène, il a fini par s'en éclipser tout seul. C'est dommage. J'ignore si j'ai su faire ce qu'il fallait, si par mégarde je me suis trompée de mots. Mais quand bien même nous nous considérions différemment, il n'empêche que l'on s'estimait. Ce pourquoi il a sa place aujourd'hui parmi les autres.

Quand on s'est rencontré j'étais celle de nous deux qui était le plus perdue. La "pas sûr d'elle", jamais un mot plus haut que l'autre. Tu as fait partie à ta manière de ceux qui m'ont porté. Celui dont je terrais le nom, bien trop reconnaissable, aux yeux de certains qui seraient bien loin d'être de mon avis. Pire qui te méprisaient. Au hasard d'un retour au lycée, ta rencontre et nos quelques échanges firent tout remonter. Comme quoi sans faire vraiment partie D'Eux, tu as tout de même continuer à compter très fort. C'était peut-être là, la meilleure alternative, lorsque l'on voit comment les choses se transforment. Ce qu'ils sont devenus.





... Quand on faisait semblant ... ?

Vendredi 21 octobre 2011 à 7:15

 

Toutes ces choses qu’on a piquées à tous les autres.

Un sourire ,une rencontre, c’était peut-être bien plus en fait.
Un regard, une complicité, bien au-delà même, une fusion.
C’était un contacte. Une passion.

On avait ce petit air coquin, stupide, en coin des yeux, quand on savait la connerie arriver. On était bien. On était deux. On était nous.
Un été, Un Paris, Un bout de Lyon.
On n’était jamais seul. On était toujours deux. Avec ou sans eux d’ailleurs. Mais toujours deux.

T’attendre au pied de la porte, mes pleurs quand tu t’en va. Des manques mais surtout des plein dans mon cœur. Le piano. La lecture. La musique et le chant. Tout n’est évidemment pas dit mais « trop » c’est l’ennemi du « bien. » Alors je me tais.

Un BAFA dans la poche. Du violet. Du même et sa recherche. Des regards. Des sourires. Des nuits, des câlins, des matins. Une chambre atypique. Gabriel, Charlotte. D’autres. La fumette. Les animes’. Des soirées, UNE soirée. Nina. Nos moments à deux. Le théâtre, notre dessin, la carte aux trésors. Ma famille, la brocante, Vincent. Le sogoosto, les zombies, Mélanie, le vélib, le vélob. Nos photos ou presque pas, Skype. Mes « tableaux », le covoiturage, le froid, la pluie, Mon petit Homme. Mon petit prince. Mon cœur ou le tien. Un appart plus ou moins grand. Des pétages de câbles. Ma patience. Toi quand tu es amant. Moi quant je suis aimante. Quand on s’aime.

Une Zombie Walk !

http://purpleheart.cowblog.fr/images/IMGP8410.jpg

Vendredi 21 octobre 2011 à 6:03


Déjà trois mois.
J’ai un petit bout d’homme qui s’est installé chez moi. Qu’est pas bien grand mais qu’est ce qu’il prend de la place. Un petit bout d’homme, un rien poilu, un rien têtu. Un petit homme quoi. Quand il s’énerve ça s’agite dans tous les sens. Ça bouge les bras, ça tape du pied, ça fait du bruit mais ça brasse surtout beaucoup d’air. Ca s’emmêle dans tous les sens, se contredit, ca perd le fil et puis du coup bah nerveusement ça ri. Mon Homme à moi,  bien sûr qu’il est embêtant quand il ne sait plus quoi dire, comme tous les autres il reste un rien macho sur les bords, faut qu’il ait raison sur tout, tu comprends bien. Avoir le dernier mot, ça ça le connait bien. ‘fin bref c’est un Homme quoi. Même s’il est un peu plus petit que les autres. Et pi tant mieux comme ça sous ses airs de viking, il est aussi un poil moins méchant et du coup un peu moins chiant.


Six mois. D’instants, de vie à côté, 6mois de vie partagée, ou pas. Six mois de craintes et de contraintes. De faux pas. De tendresse. Espoirs. D’attentes. Six mois à part ! 6  mois de toi + moi. 6 mois ailleurs. 6 mois. Des mois. De la joie et toi.


Maintenant un an.
Un an trop court et trop rapide en même temps. Un an de rire, de pleures. Un an de chants. D’idées saugrenues, de pensées foireuses et d’entre deux.  Déjà un an. Des retrouvailles, des rencontres, des gens. Un an. Si peu et pourtant tellement.
 


Et tout qui s'achève si vite. Jamais comme ces vieux films en noirs et blancs.


Mercredi 5 octobre 2011 à 6:56


Aussi étrange que celà puisse être, il ne me manque pas. Du moins pas plus qu'un autres.
Au rendez-vous des grands amours d'entant, il tenait pourtant une bonne place. Mais faut croire que c'est vrai ce que l'on dit : Avec le temps tout s'en va. D'autant plus avec cette impression que les comportements suivent.
 
On aimerais parfois qu'au moins une chose puisse perdurer tel quelle, malgré le cours que prenne inévitablement les choses. Savoir qu'au moins un chose, un sentiment, une personne reste égale à celle qu'elle fut lors d'une première rencontre. Même dans le cas où nous, nous aurions considérablement changé entre temps. Ce serait une sorte de contacte avec notre passé qui nous servirait de base pour se juger soi même. Mais l'on pourrait aussi le voir comme un éventuel point d'appuis. Celui ou celle sur qui, contre toute attente, et, toutes époque confondu , l'on sait que l'on peux compter. Se sentir rassurer, entendre une vérité qui fait mal à dire. Se confier. Toutes ces choses qui s'évaporent, en même temps que ce lien ci précieux avec un ami, se transforme en un réseau complexe de connections avec un parfait inconnu.
 
J'avais mon pilier. Mais que ce soit parce qu'il ne le souhaitait plus à cause d'une mauvaise gestion ou parce qu'il était dans l'incapacité de le rester, comme bien d'autres avant, il a fini par s'écrouler. Emportant avec lui, d'où je venait, Certaines confidences intimes, Mes directions futures.

Non non, je ne le déplore pas, bien au contraire. Je me doute bien qu'il est donné à tous de changer sous sa propre volonté. Moi même, je dois sûrement en être la preuve quelque part. Néanmoins la prise de conscience de cette perte, bien qu'incontrôlée, reste déplorable.

J'ignore ce que sera demain, mais ce soir, il me manque un pilier, un confident, un ami avant toutes choses.
 

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