Fantasme au pluriel. Je n'appartiens qu'à moi.

Vendredi 30 décembre 2011 à 20:02

 
L'ironie c'est qu'a trop braquer ses yeux sur ce qu'il cherchait, il n'avait pas vu passer, ce qu'il avait toujours voulut.

Vendredi 30 décembre 2011 à 1:19

 

Entre deux destinations, tu me retrouves presque toujours, la main levée, prête à frapper à ta porte. Sourire jusqu'aux sourcils, l'air de dire « Je t'ai manqué », toujours sur mon trente et un. Pourtant on connaît la limite à ne pas franchir, ce qu'il en est et où, n'iront jamais les choses. Pour un soir dans le mois, je suis ce que l'on pourrait dire ta chose. Terme dont certains s' injurions à le trouver barbare, alors que finalement il ne l'est pas tant que ça. On le sait, je ne suis tienne, que, parce que cette nuit mensuelle, tu es mien, que l'on accepte les règles du jeux et que cela nous conviens. Si les règles venaient à changer, sûrement que les joueurs aussi. J'imagine qu'en attendant l'on se contente de ce que l'autre a à nous offrir. Sans passer par quatre chemin, les choses à faire ce font comme il se doit, parfois plus pour le dire qu'autre chose mais c'est notre moment à nous, ma pause dans une vie inacceptable, ton air de repos entre deux gares. Alors profitons en !
 

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Vendredi 30 décembre 2011 à 1:13

 

Il avait cette charmante mais pesante façon, de croire que tout lui était du, sans même qu'il l'ai demandé.

Vendredi 30 décembre 2011 à 0:48



 

Quand tu respires en saccades, que ton pouls se brusque, que ta gorge se serre. Quand tu te crois au fond et que tu tombes encore, quand les portes se referment, lorsque les murs s'écroulent. Tu envisages bien plus, au delà du pouvoir, tu respires un bon coup et tu t'accroches aux branches. Tu t'empêches de fléchir, fais ce que l'on t'ordonne, au delà du plaisir, fais ce que l'on t'ordonne, tout ce que l'on t'ordonne. Tu ne sais plus choisir, te perds dans les dialogues, insouciant tu blasphèmes et tu dépasses les bornes. Je t'imagine, au delà des limites, là où plus rien ne meurt, parmi tout ceux qui t'aime, malgré les sautes d'humeurs. Je t'imagine, transpirant de chaleur, suffoquant de bonheur, très loin des mots de têtes et des peine de cœur. Je t'imagine encore. Prendre ta vie en main, insulter les vaux rien, décider de ta voie, partir où bon te semble, chahuter pour un rien, prendre enfin position, décevoir sans trembler, ne plus demander pardon, crier sans retenue, pleurer comme il se doit, croire enfin en l’espoir, sourire pour un regard. Autre que perdu.

 

 

Mardi 27 décembre 2011 à 22:37



Les mots de ce cher Distantwaves
 
" Elle avait trouvé cette parade fantastique qui consistait à tout leur offrir, sans rien leur donner. "
 
Et leur simple élan de criarde vérité.

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