Lundi 25 octobre 2010 à 21:38
Lundi 25 octobre 2010 à 16:41
Le temps passe mais certaines choses restent identiques malgré les personnes.
Je ne sais jamais comment te prendre. Dans un lit ou avec des pincettes ? J’ignore ce qu’il se passe dans ta tête, le moindre de tes soucis, si soucis du moins il y a eu, comme la pire de tes admirables saugrenues idées. Désagréable sensation. Alors qu’à mon habitude je scrute tes pensées comme en ta compagnie, récemment j’ai l’impression que tout don m’est arraché.
Et ca m’agace !
Lundi 25 octobre 2010 à 16:34
Les humeurs changent et je poste du passé.
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Bien souvent je me réveil dans tes bras, quelques fois sur le sofa comme un simple mauvais rêves dans mes songes. D’autres fois encore rien de tout ça n’a le temps d’arriver car la réalité me rappelle en sursaut, toute tremblotante de sueur froide et je prend conscience, que je suis encore seule, dans une chambre si sombre que l’on aurait pu la prendre pour un cercueil.
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Il paraît que tu me manques.
Lundi 11 octobre 2010 à 22:40
21h22, il tourne au coin de la rue et je lui jette un dernier coup d'oeil, comme une conne
Vous connaissez ce regard échangé avec un inconnu, celui que ça fait bien dix minutes de ça maintenant que ça dure mais que personne n’ose rien faire. Les regards furtifs, toujours un peu timides dans le fond parce qu’on n’arrive franchement pas à savoir si c’est parce qu’il y a quelque chose qui cloche qu’il nous observe ou si c’est parce qu’on lui plait bien. Vous savez le regard qui dit, « fait moi un signe, vite ! » alors que déjà en lui-même c’en est un. Ou encore celui qui cri « dépêches avant que je ne descende du métro, avant que je tourne dans la prochaine ruelle, avant que l’on ne se recroise jamais plus. » Dans ces situations y a toujours ceux qui sont plus malins que les autres. Ceux qui foncent dans le tas direct, qui sont lourds et bien souvent se font recalés à l'entré. Et pi il y a nous autres. Nous qui attendons jusqu’au bout, qui nous accrochons à l’espoir qu’il ferra le premier pas. Nous qui nous retrouvons bien souvent comme des badauds, notre espoir en main justement, de l’autre côté de la porte du métro, à tourner au bout de la rue, à renter chez sois, sans savoir ce qu’il y aurait vraiment pu se passer.
Samedi 9 octobre 2010 à 12:32
Il y a un temps assez long entre séparation et prise de conscience ..
Parfois ça prend un an.
Paraît que y a toujours eu du bon dans chaque relation. Toujours.
Un subterfuge à ma manière.