"Dans le noir on ne voit plus qu'avec le coeur." (une illustre inconnue)
Vendredi 17 juillet 2009 à 22:15
Le temps file vite et personne ne l'ignore. Que soit les secondes, les jours ou bien les années on sait tous qu'ils faut en proffiter chaque jour. Pourtant on a souvent peur de ne pas avoir assez proffité et on trouve toujours à redire sur ce que l'on a vécut. On a toujours un repoche, un pic ou une remarque en attente, celui ou celle qu'il nous manquait sur le moment, quand les choses n'allaient pas ou qu'elles allaient trop bien. Ce qu'on aurait du faire, ce qu'on aurait du dire.
Elle vit en parrallèle de ceux qu'elle considère comme ses amis, comme deux routes tracées vers une même direction mais qu'on n'a pourtant pas faite pour se rencontrer. Quant au reste du monde elle ne le perçoit qu'au travers de sa bulle et c'est bien suffisant quand l'on y voit certaine horreures qui s'y passent.
Récement elle a rencontrée un homme tellement différent du reste que ca en deviens trop mieleux pour en parler. Il faisait partie de ceux qui vivaient en parrallèle d'elle, de ceux qui sortaient de la masse. Un de ceux qu'elle voyait de temps à autres tout en se demandant si ils continuaient de croire en elle, de ceux qu'elle appelait sans vraiment savoir qui ils étaient. Maintenant elle sait.
Il en vaut tellement la peine comme si peu avant lui, qu'elle s'y accroche déjà comme la dernière passerelle entre son passé et son future.
Ce n'était pas le but innitiale mais comme souvent je ne réfléchit pas innitialement.
Avec moi, les choses sont souvent différentes de ce qu'elles devaient être.
Vendredi 17 juillet 2009 à 20:55
La maison tremble déjà sous leurs cris. Du coup elle s'y met aussi, pour les convenances. Dans sa tête c'est dure de s'avouer que c'est pour tellement d'autres choses.
Après seulement trois heures passées en leur compagnie elle ne souhaite déjà plus qu'une chose, celle de repartir.
Vendredi 17 juillet 2009 à 20:50
Bonjour, je me présente,
je ne suis qu'une fille de passage, dérangée et dévastée.
Devastée par toutes ces choses qui m'étaient inconue, celles qui se dévoilent peu à peu et toutes celle que j'ignore encore mais que je recherche sans relache, que je veux comprendre quoi qu'il m'en coûte. Une jeune fille trop bléssée pour repartir de suite s'égarer dans une vie qui ne lui appartient presque plus, comme si elle ne s'en était jamais éloignée. Je vie de blessures, de celles qui ne se sont pas manifestée, que j'attend alors que les éviter parraîtrait plus raisonnable, de celles qui ne sont pas, qui ne seront jamais et de toutes celles qui ne se sont pas encore refermées et qui semble ne jamais le pouvoir. Je vie dans le passé, de choix que je n'arrive pas a percevoir comme autres que mauvais, de regrets mais pas assez de remords.
J'espère bientôt rire d'une tristtesse déjà trop loin, bien qu'à la fois si prôche. Et je rirais fort même en y repensant. Mais pour l'instant je pleure devant de presque inconnus en me persuadant qu'ils ne le seront bientôt plus.
Mardi 7 juillet 2009 à 20:43
Sous le soleil la journée avait déjà pourtant mal débutée et leur fuite n'a évidement pas facilitée les choses.
Elle nous force alors à nous apercevoir de leur regard fuyant, celui de ceux qui ne s'avouent pas leurs peurs, tout en tentant coute que coute d'éviter les bavures. On ne leur à jamais appris qu'on ne cache pas une chose en en en accentuant une autre. Simplement lorsque les réalités de la vie nous pousse dans ses recoins les moins beaux, on ne sait plus à quoi s'attendre et on ne sait plus se contrôler. On rencontre alors ceux qui dévient leur routes pour, de ce qu'ils en disent, mieux nous retrouver ensuite. Ou pour mieux profiter de nous.
Sous le soleil la journée avait déjà pourtant mal commencée. Elle s'est achevée sous la pluie dans les eaux d'une soirée plutôt agitée.
La vie s'active lorsque la pluie prend position.
Les gens marchent plus vite, crient plus fort. Pour un peu il semble qu'ils ne réfléchissent plus.
La pluie brouille les idées et les mélange juste ce qu'il faut, pournous les rendre plus claires.