A tous ces soirs un peu perdus entre deux temps, divaguatoires, où les discussions se rejoignent toutes en un seul et même sujet. A toutes ces soirées où l'inatendu fait râge, à peine le seuil de la porte dépassé. A ces soirées un peu trop fraiches, qui sortent de l'ordinnaires, où rien n'était à prévoir. A des nuits comme celle d'hier, qui sont longues, pariculières et où les bétises qui n'ont pas étaient des moindres, n'ont fait que s'accumuler.