Je ne comprends pas toujours les réactions des gens. Parfois j'en attends pas assez. Bien souvent trop. Et je tombe d'un peu trop haut.
On s'entrecroisent plus que l'on ne l'a jamais fait. Il est toujours aussi "éléguant" si je puis dire. En fait il me papillonne. Je ne sais pas d'où, ni pourquoi, mais il a ce quelque chose que d'autres n'ont pas. Et quelque soit le "lourd" passé, quelqu'un qui te papillonne, c'est important. D'ailleurs on retrouve encore chez moi quelques vestiges de notre courte mais vive histoire. Un cactus sur mon balcon. Une grenouille pour fond d'écran. Il a même sa place dans mes souvenirs encadrés.
Etrangement il y a des jours où j'oublierais totalement qu'il ai pu exister. Et puis il y en a d'autres jours comme aujourd'hui, où l'on s'entrecroisent plus que jamais. Où les mauvaises habitudes sont prêtes à ressurgir, d'un coup de bras. Où je le recherche. Tu me dira, les rôles semblent être partagés. Mais bon. J'imagine que quelques part, je retrouverais bien mon Crapo, son mystère, nos bêtises et son incohérence à mes yeux, puisque à l'époque je ne savais pas tout. Et puis d'autres fois ressurgis la bêtise humaine, un air vagabond, rieur plus que sur les bords et un "tu m'as pris pour qui ?" à t'en foutre à la benne. Tout juste de quoi me rappeler les circonstances qui ont faites que. Quelque part j'ai jamais bien trop compris les relations humaines. Celles qui suivent une lois qui dit que deux personnes qui furent pourtant si proche, peuvent du jour au lendemain, d'un simple regard tenter de fusiller l'autre.
Je ne comprends pas toujours les réactions des gens. Parfois j'en attends pas assez. Bien souvient trop. Du coup je tombe d'un peu trop haut.
On s'entrecroisent plus que l'on ne l'a jamais fait. Il est toujours aussi "éléguant" si je puis dire. En fait je crois qu'il m'a toujours papilloné. Du moins autant que puisse papilloner un crapeau.