" Vous verrez plus tard on sera tous des stars ! On sera riche, avec nos rêves de gamins en poches parce que oui, on les aura réalisé. On se retrouvera au Hilton par hasard évidemment, toi tu sera batteur dans ton grand groupe en devenir d'être connu les "Why not ?", toi tu vivras de ton art, que dis-je, de tes arts et tu te balladera en décapotable violette évidemment. Et toi, tu seras un grand joueur de poker qui rafflera tout à tous les coups. Pour sûr. Moi j'aurais plus trop la même gueule je crois, j'espère, mais vous me reconaîtrez parce que dans le fond je serais toujours aussi con avec mes philosophies à deux balles de soirs de lune. On reparlera de ce temps dans un des salons du Hilton, du temps de maintenant quoi et ça nous ferra bien marrer."
Samedi 26 juillet 2008 à 19:39
Vendredi 18 juillet 2008 à 14:43
S'étreindre oui mais juste une dernière fois. Si bien que tu n'y as pas cru lorsqu'elle te l'a annoncé. Tu lui as souri juste, comme à ta grande habitude. Parce que tu etais heureux il parraît. Et elle qui ne l'avait pas compris.
" -Dis pourquoi tu souris ?
-Pour rien, pour rien. "
Alors s'embrasser aussi pour la dernière fois.
Demain elle partira. Ne lui demande pas pour combien de temps car elle serait bien incapable de te réponddre. Quelques jours, quelques semaines, plus peut-être. Elle n'est même pas sûr de te revenir.
" -Tu m'écriras une chansons ? Histoire de ne pas oublier que j'ai existé. Histoire de mettre par écrit que j'étais bien réel avant de partir. Avant que m'arrive toutes ces conneries. Pour ne pas te réveiller un matin et te dire que je n'étais qu'un rêve. Tu me l'écriras hein, cette chanson ? ...
-Tu sais bien, je n'ai jamais su les écrire."
Demain elle s'en ira donc. Sans espoire de chanson, mais avec tout le reste en tête.
" -Je nous aurais bien vu mariés pourtant dans quinze ans, et ...
-quinze, ça fait pas un peu beaucoup ?
-Disons dix alors.
-Ouais dans dix ans c'est bien, et tu nous aurais vu quoi d'autre?
-En fait pas tant de choses, juste des choses simples. Mais mieux vaut laisser tomber maintenant, il parraît que rien ne se réalise jamais comme on le voudrait. Dans dix ans je serais marriée à un mec qui aura bien voulu m'épouser en violet ...
-Tu sais ça, ça peut se négocier !
-Oui sauf que toi de ton côté tu seras aussi marié à une jolie rousse, qui aura bien voulu signer pour te supporter toute sa vie, si c'est pas une preuve d'amour ça. *Sourire* Et un jour on tombera l'uns sur l'autre, par hasard bien sûr, ce jour là j'irais la voir moi, je lui dirais dans le creu de l'oreille que j'étais la première que t'as voulu épouser, je lui dirais que mon violet à moi il ne te faisait pas peur et que tu l'aurais mis pour moi si je te l'avais demandé. Ca l'aurait sûrement fait chier de me rencontrer, et moi ça m'aurait bien fait marrer.
-Finalement je l'aurais laisser tomber pour toi ...
- ... et on se serait enfuis sur ton beau destrier, oui enfin faut pas déconner hein non plus. Tu resteras simplement avec elle, moi avec lui et tout finira mal comme toujours. Mais c'est pas grave tu sais.
-On paris ?
-On paris.
Elle partie tôt le lendemain matin, toujours sans grand espoire d'une chanson ou d'une quelconque future retrouvaille.
Dimanche 13 juillet 2008 à 14:57
Réveillé par un foutu téléphone qui ne voulait pas se taire.
Faudra que je pense à l'éteindre la prochaine fois.
- Allô ...
- Non je ne dormais pas.
- Mais non j'te dit.
- Bon qu'est ce qui se passe ?
En fait, à ce moment là, je n'en avais strictement rien à faire. J'avais mal au ventre, aux bras, au dos. Je les sentais lourd et encombrant. La seule chose qui m'appaisait un peu c'était l'appel de ma couette. Mais il a fallut que je me lève, ce que j'ai fait. Tu m'as demandé d'aller regarder si je ne sais plus quoi se trouvait bien là où il devait se trouver, alors je suis allée voir, et tout est allé de travers.
Le miroir.
L'obscurité.
Les escalier.
La descente.
Penser à installer un ascenseur.
Dimanche 13 juillet 2008 à 14:24
Un vieux disque qui tourne encore. Pas très fort. Juste audible ce qu'il faut.
Un livre presque achevé entre ses mains.
Un appel innatendu.
Il disait que ça partait dune bonne intention, et elle en était persuadé.
Alors pourquoi ça s'est terminé comme ça ?
Une vive lumière blanche que l'on allume pour éclairer les choses. Y voir plus clair sur ce que l'on ne comprend pas. Des marques rouges un peu partout, des blanches quelques peu, les draps trempés de larmes qu'elle n'a pu contenir. Le téléphone, au sol, séparé en deux morceaux après qu'elle l'ait ballancé contre le mur. Faut pas croire, elle était pas triste au début. Elle en voulait jsute à la terre entière que les gens dorment la nuit et soit évellés le jour. Alors si seulement.
C'est parti comme ça, d'un rien. Il en faut souvent peu pour se retrouver dans des états comme celui là. Parce que trop, ça donne un effet beaucoup moindre.
Lundi 7 juillet 2008 à 22:38
Tu cris au déshonneur seulement quand il te concerne. Tu prônes l'égalité, et dit que tu es différent. Tu te moques d'eux sans relache mais tu n'as jamais rien dit. Et quand on dit que tu ments, toi tu n'as jamais tord. N'empêche qu'il faut te respecter.
Je m'interdie de pleurer en ta présence car c'est à peine si ça te touche.
- Quand j'étais petite je pensais que les étoiles n'étaient en fait que des milliers d'ampoules qui ne tennaient dans le ciel que par je ne sais quel miracle, et qu'un homme, payé pour ce travail, les alumait chaque matin et les éteignait chaque soirs.
- Plus maintenant ?
- Maintenant je sais que ce ne sont en fait que des boules de différents composés gazeux et qui par l'action de différentes forces attractives et graitationnelles sont capable de "voler" dans le ciel. J'ai fini par apprendre que personne n'était payé pour les allumer. Qu'au contraire elles l'étaient tout le temps et que la raison pour laquelle on ne les voyait pas la journée était que le soleil à lui seul produisait beaucoup trop d'éclat.
Alors forcément le rêve et la magie là-dedans ...
- Sont restés coincé dans ta tête !