Parce qu'on déteste tous les contes de fées des autres. Même si on ne se l'avoue pas.

Lundi 22 juin 2009 à 22:27



Envie de sentir la présence masculine, l'odeur d'un homme qui s'agrippe à vous pour garder sa chaleur, les compliments fusant de toute part pour me couvrir d'assurance. Un seul nouvel homme, mon homme, qui se suffirait à mes défauts pour profiter au mieux de mes qualités. Imaginer pouvoir glisser sous des draps chauds, en ayant le corps de cet homme simplement beau parce que je l'aimerais et qu'il ne serait rien qu'à moi, venant se blottir, son corps nu contre le mien ...

http://purpleheart.cowblog.fr/images/1/femmenueregardedehor-copie-1.jpg

Dimanche 21 juin 2009 à 15:26



Son sourire en éblouit plus d'un, humouriste à ses heures perdues, envahissant, un rien grincheux voir arrogant mais toujours en souriant.
Prêt à déplacer des montagnes, même pour si peu, une odeur rassurante, une sensation de déjà vue, action plus qu'adorables, et des preuves à l'appuies.
Cherche souvent l'impossible et l'atteint presque à chaque fois, se soucie de pas grand chose sauf de ce qui l'importe, se satisfait de tout.

Sa plus grande force c'est qu'il ignore tout cela.





PS ma playliste deezer ayant disparue à qui connaîtrait un site où l'on peut capturer le zigui qui permet de mettre de la musique dans mon article, merci de me montrer que vous existez.

Mercredi 17 juin 2009 à 22:45

Je n'aime vraiment pas les anniversaires.

Mercredi 17 juin 2009 à 14:29


On partira cet été. Sur un de ces chemins de campagnes qui s'envolent loin dans les collines. On partira main dans la main comme dans un de ces souvenirs lointain que l'on s'invente parce qu'on sait qu'ils ne se réaliseront pas. Parce que j'ai toujours cru que l'opinion des autres importait bien plus que ce qu'elle n'est vraiment. Or ce temps est révolue et tout ce qui allait avec aussi. Ce qui différencie l'ancien du nouveau c'est moi. Moi et  tout ce qui fait que j'oublie remords, regrets, passés et circonstances. Et c'est sans scrupules que je t'emmènerais, contre ton grès si il le faut, là où même nos espoirs passés ne pensaient pas qu'on se retrouverait. Voir des facettes de mon esprit que tu ignorais jusqu'à présent, celles que je ne t'avais jamais dévoilés, faute d'une certaine confiance en l'autre qui ne s'acquière pas facilement.
Viens avec moi, celle qui n'est plus effrayée que par une chose et qui se fout maintenant du reste. Suis-moi dans ce dédale de notre future que l'on découvrira ensemble. Ces nuit d'été dans la chaleur des nuits de pleine lune.

Lundi 15 juin 2009 à 20:08


C'est l'histoire d'une fille pas pareil qui s'est mise un jour a espérer des trucs pas impossibles mais pas non plus toujours très crédibles ... comme jouer à saute mouton avec les nuages ou grignoter des pâquerettes avec ses amies coccinelles. Voilà à quoi rêve cette demoiselle. Elle parle aux oiseaux qui toujours répètent ses secrets au soleil et le soleil lui s'en va murmurer tout cela aux nuages... il ne faut pas se fier aux oiseaux, ils ne savent rien garder !
Telle est la leçon de cette histoire sans intérêt.

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