il y en a qui tente à échouer et d'autre qui échoue à tenter.
Jeudi 22 janvier 2009 à 22:23
Elle a beau souvent être démantie, c'est insuportable le doute persiste. Elle s'oublie dans ses bras, elle pense qu'ils ferront sûrement un grand bout de chemin, mais être la plus belle, bien qu'au creux de ses bras, ça ne suffit pas toujours. Alors elle va encore souffrir en silence. Se dire que ce n'était sans doute pas fait exprès.
Même si maintenant ça la ronge.
Un regard furtif dans les couloirs parce qu'on a toujours un peu de mal à s'y habituer de suite. Personne ne sourie vraiment mais on fait tout comme, juste pour sauver les apparences. Revenir à la normale c'est quoi finalement ?
Elle à peur de tout ce qui continu d'arriver alors que tout devait être fini.
Mercredi 21 janvier 2009 à 22:30
Pieds presque nus elle déambule.
Aux quatres coins ils se séparent.
Elle fini encore par lâcher prise. L'espace d'un temps qu'elle dit. Juste le temps de remettre en ordre ce qui se doit d'être rangé.
C'est toujours la même chose, quand on ne la perd pas, l'on ne sait plus où donner de la tête. Et quand on pense la tenir bien ferme entre ses mains, il y a toujours des pensées brouillonnes pour réussir à s'échapper.
On s'effondre souvent pour un rien quand notre imagination nous fait des faux. Lorsque le plus petit des détail insignifiant passe malgré nous, pour quelque chose de bien plus grandissime. On arrive à douter si facilement de nos capacités.
Surtout quand on les pense inexistantes.
Lundi 19 janvier 2009 à 22:21
C'est adorable et tellement triste à la fois.
De la voir réagir en coup de coeur, à tout instant, envers n'importe qui, sans plus ou moins de raisons particulières. Quand elle s'enflame pour un compliment, qu'elle n'affectionne même pas parce que les compliments c'est pas son truc en fait. Elle se qui la touche c'est bêtement qu'on pense à elle. Qu'on y pense et qu'on lui dise ... bah oui, sans ça, comment elle irait mieux?
On pourrait dire qu'elle n'a que l'embaras du choix, mais ça ne ferrait que l'embarasser un peu plus. Son problème c'est pas tant qu'elle est compliquée, c'est juste qu'elle ne sait pas ce qu'elle veut. Elle sait qu'elle veut rarement le mal des autres. Et c'est sans le faire exprès qu'elle s'engueule avec lui, c'est sans le vouloir qu'elle n'arrive pas à se réconsilier avec les autres. C'est parce qu'elle est comme ça et que tout lui vole un peu trop au-dessus en ce moment. Un simple malentendu entre elle et le reste du monde. De simples intempéries passagères.
Elle a un coeur d'amoureuse et c'est comme ça.
C'est pas vraiment sa faute en fait.
Mercredi 14 janvier 2009 à 22:33
Elle se retrouve seule sous la pluie.
Seule avec ses pensées maussades.
Le bon moment pour un lavage de façade.
Parraîtrait que le temps joue beaucoup sur nos humeurs. Pourtant malgré les gouttes d'eau qui dévalaient son visage elle était plus préocuppée que triste. Préocupée d'une douche pour laquelle elle ne s'était pas préparée. Qu'elle n'avait pas vue venir.
On n'a rien à faire dehors quand le temps ne veux pas de nous.
Sinon, et bien que mon avis cinématographique fasse sûrement partie des moindre, "My blueberry night" est à voir je pense, pour qui s'en soucis.
C'est l'histoire d'une fille qui sort d'un echec amoureux, d'un barman gardien de clefs et de différents pommés dont enfin on se soucis un peu. Mon résumé nuira sans doute au film, je m'en excuse d'avance. J'avouerais que c'est une ambiance spéciale installée tout du long, mais certains comme moi la trouveront peut-être très attachante.
Jeudi 8 janvier 2009 à 15:08
Dis moi que tu m'aimes,
même si c'est par habittude, et parce que le temps file vite autours de nous.
Dis moi que tu m'aimes un peu,
quand je plonge, tête baissée, dans tous ses ragots qui traînent sur nous.
Dis moi que tu m'aimes fort,
quand il fait foid, quand j'ai peur, quand tu es loin.
Dis moi que tu m'aimes encore,
parce que j'en ai envie, même si ça reste vague, même si c'est des bobards.
même si c'est par habittude, et parce que le temps file vite autours de nous.
Dis moi que tu m'aimes un peu,
quand je plonge, tête baissée, dans tous ses ragots qui traînent sur nous.
Dis moi que tu m'aimes fort,
quand il fait foid, quand j'ai peur, quand tu es loin.
Dis moi que tu m'aimes encore,
parce que j'en ai envie, même si ça reste vague, même si c'est des bobards.
Surtout dis moi que tu maimes,
quand tu oublis de venir, quand tu ne penses pas à moi, quand je t'en demande trop,
même si c'est un mensonge.
quand tu oublis de venir, quand tu ne penses pas à moi, quand je t'en demande trop,
même si c'est un mensonge.