Quand l'abandon proviens de ceux qui nous sont le plus proche, on ne réalise pas tout de suite ce que cela influe. La famille, les amis, ceux qui compte plus qu'on ne saurait le dire. Lorsque face aux peines et houleuses expériences, ils vous laissent seuls et prennent la fuite. Bien triste celui qui sous la tempête n'a nul toit chez qui dormir.
La mélancolie c'est du bonheur qui se repose.
Dimanche 24 avril 2011 à 11:36
Quand l'abandon proviens de ceux qui nous sont le plus proche, on ne réalise pas tout de suite ce que cela influe. La famille, les amis, ceux qui compte plus qu'on ne saurait le dire. Lorsque face aux peines et houleuses expériences, ils vous laissent seuls et prennent la fuite. Bien triste celui qui sous la tempête n'a nul toit chez qui dormir.
Dimanche 17 avril 2011 à 2:17
Parfois j'ignore qui de nous deux n'est pas celui qu'il montre être. A force de chat et de souris, on fini par se prendre au jeu, plus qu'on ne le souhaitais initialement. Tu cours bien plus vite et pourtant je manie mieux les sentiments. Tantôt tu y gagnes tantôt c'est moi. Ce n'est que batailles sans fin, prises de positions en tout genres, alternance de rires et coups de gueules. Personnes ne gagne jamais réellement. Au fond je regrette ces premières rencontres, où au simple flirt suffisait ton regard furtif, timide sur mes cuisses entrecroisées, lorsque que tu t'immiscais entre moi et celui qui commençait à trop se rapprocher à ton gout. Lorsqu'on n'avait pas besoin de grand chose pour savoir à quoi pensait l'autre.
Dimanche 17 avril 2011 à 2:03
Elle avait cru bon lui faire confiance quand si aimablement, il avait proposé son aide.
Elle se rappelait le bon vieux temps, leurs balades dans la voiture pourris de sa mère, le soleil qui tapait déjà si fort à onze heure à peine. Leur amourette naïf dans un environnement où tous leurs disait que ça ne fonctionnerait pas. Mais ça avait duré, un peu. Entre deux mondes dont ils ne faisaient pas vraiment partis, les sarcasmes des uns, la peurs des autres et leurs peur à eux, ils avaient réussi à faire abstractions de tout. Pendant quelques mois ça n'a plus qu'était sexe, rire et plaisir.
Comme n'importe qui d'autres évidemment, la fatalité leur était tombée dessus quelques fois. Les disputes de couples, les jalousies, et puis la distance, c'est sûr que ça n'aide pas mais ils avaient toujours fini par se relever. A deux. Alors quand venu de nul part sa sentence était tombée qu'il valait mieux se séparer elle avait pas tout de suite compris la petite. Elle avait d'abord cru à une mauvaise blague mais ne voyant aucun sourire se dessiner sur sa face, elle avait vite saisi que c'était du sérieux.
Pourquoi, comment et à quoi bon était alors des expressions devenues redondantes dans sa bouche. Il valait mieux pour lui peut-être mais pour elle c'était tout un monde qui s'obscurcissait du jour au lendemain. Puis elle avait commencé à faire semblant de s'accommoder. C'est ce qu'il fallait faire il paraît, quand on ne sait plus trop à quoi se raccrocher. "... non mais tu comprends bien ça venait d'un peu nous deux, on en pouvait plus ! " Sauf qu'au fond elle savait bien que c'était lui ce con qui ... avait voulu aller voir ailleurs en toute impunité. Et après le premier passage de ce qui dans un sens vous broie le coeur, il y a le retour d'autant plus douloureux qu'en fait on avait pas vraiment cicatrisé du premier passage. Ce jour là elle s'était pourtant promise qu'il irait se faire voir chaque fois qu'elle en aurait l'occasion.
Mais devant son grand sourire ravageur et ses yeux vert de chat botté, elle n'avait pas su résister quand si gentillement il lui avait proposé main forte.