Un sourire réduit les distances.

Samedi 26 janvier 2008 à 11:38


 

 



Aux quelques seinémarnais qui seraient de passage par ici.


Si vous aimez la musique Tzigane. Si vous aimez le Jazz.
Si vous aimez les mélanges.
Alors allez voir Trio Gitan.

Trois guitares acoustiques seulement.
Trois générations différentes présentent sur une même scène.
N'hésitez pas.

C'est une heure trente de pur plaisir et des solos à vous en couper le souffle.

Au théâtre municipal de Sens
21 boulevard Garibaldi
Mail : theatremunicipal@marie-sens.fr



PS : Et un grand coup de coeur pour Jean-Baptiste Laya.

Mardi 22 janvier 2008 à 22:16


Et une de plus, une.
Pour la forme il parraît. Oui mais la forme en ce moment ... C'est pas trop ça.
Ca doit lui faire du bien je crois, j'espère.
Sinon quel interret ? L'utilité ? Où est le pourquoi du comment ?
Ils ne s'arrêtent qu'aux apparences. C'est dur parfois. Ce qu'il se cache en dessous, vas savoir pourquoi ça ne les intérresse pas. Ils s'en moquent.
Rien de plus. Rien de moins ecore une fois.
Rien de moins surtout.

Ou alors
ça.

Samedi 19 janvier 2008 à 16:41



Il était à quelques patés de maison près de moi. J'étais dans la rue du bas, pas si éloignée que ça en fait. Et on s'est quand même manqué.

Il était parti vivre. Que demander de plus ? Vivre bon sang. Parti s'époumonner à crier des choses incompréhensibles. Parti parler de musique, de choses et d'autres, et de filles sûrement. Parti rire d'un rien qui importe beaucoup à l'instant présent. Parti dans un un autre monde, bien plus loin que ces quelques trois rues qui nous séparaient. Il était parti polluer l'air d'une musique qu'il joue tellement bien quand il le veut. Et moi je suis juste sortie me polluer les poumons avec mon monsieur S.
Vivre, Faut pas exagérer non plus, c'est pas donné à tous le monde. Alors je lui en ai voulut bien sûr. Non pas parce qu'il vivait, non, ça c'était son problème pas une question de ma jalousie. Je lui en veux parce que j'ai inspirait de la grisaille comme si c'était de son odeur que je voulais me rappeler. Je lui en veux parce qu'il a plut à l'interrieur alors qu'à trois pas d'ici il faisait beau.


Je lui en ai voulut parce qu'il vivait pendant que je l'attendais.


Mercredi 9 janvier 2008 à 16:35



Mais si tu sais, tu sais tout ça. Tu as toujours su. Un jour tu te souviendras.
C'est juste que ça fait longtemps maintenant, t'es peut-être un peu rouillé comme on dit. Fouille un petit peu dans ta mémoire, plus loin encore, plus je te dis. Tu ne vois pas, là au fond ? Non ? C'est juste que c'est trop bien caché derrière tout le reste. Derrière le petit frère, derrière les gros bras, derrière Elle un peu, derrière Lui là et pi derrière … T'as raison j'arrête, ils ne comprendraient pas.
Et puis ne t'inquiètes pas ça te reviendra bien tôt ou tard de toutes façon, plus vite que ce que tu ne penses même. Plus tôt que tard j'espère.
Et moi ? Bah, moi j'attendrai sagement.

Toujours là,



au même endroit.

Mercredi 9 janvier 2008 à 16:02



Tu m'attends maintenant. Grande nouvelle. Et ce n'était pas la plus grande de la journée en plus. Mais quand même. Dire que c'était pour ça. Si je m'y attendais, j'aurais pas pu. Mais je ne regrette pas. Rien. Lui par contre si il savait ... Bon passons. Et tout ça pour, à cause de quoi déjà ? Grâce tu dis ? Tu vois je ne m'en souviens plus c'est pour dire, disons juste à une cigarette à la base. Enfin je crois.
J'ai le cœur qui a palpité toute la nuit, et j'aime me dire que c'est à cause de ça, même si, je ne devrait pas il semble. Elles ont toutes les deux eu peur pour moi. Comme quoi. Mal de dos depuis. En fait c'est ça, t'aime bien me faire souffrir je crois. Et ça te fait rire. Une situation qu'on gardera le plus possible dans l'ombre de toute façon. Tu m'étonnes, scandale assuré. Ou foutage de gueule qui sait ? Déjà que, mouais enfin tu sais tout ça hein. En tout cas j'espère que c'est bien plus, tu (me) l'as promis, de ne pas faire comme tout les autres avant toi. Mouais. Et j'ai eu le malheur de te regarder dans les yeux, bleus, merde, et de te croire ne serait-ce qu'un peu. Merde. Depuis le doute qui m'habite. Tu me montres le chemin de la mauvaise pente, le plus dur, avec les falaises, les pics rocheux et cette foutue herbe qui gratte, et moi, moi je te suie les yeux fermé et ça commence à me plaire en plus. Re merde. Un début d'envie d'entrer un peu dans ton tourbillon de vie. J'y gagne quoi ? Ah ça, pas grand-chose certe. Si, oui j'allais oublier, le droit de compliquer les choses quand pour une fois ça devenait simple. Et ça me fait plus plaisir qu'autre chose, tant mieux après tout. C'était bien ma seule résolution de l'année. Pour une fois que j'applique et que je m'applique à appliquer. Putain si elles savaient. Je me ferrais descendre dans les minutes qui suivent. Que dis-je minutes, secondes oui.
6 points maintenant, faut que je commence à faire gaffe alors, tu te rapproches dangereusement des 10 qu'on a établit au départ. Bon.
Et puis tu vois paraît que l'autre c'était moins bien, alors on change. Monsieur S. C'est pas trop mal. Et surtout ça me facilitera la tache comme ça. J'ai du Monsieur G, du Monsieur S et Mam'zelle S - tout simplement.
Tu vois, ça s'accorde bien finalement.

 

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