Jeudi 25 février 2010 à 1:41
Tu te reconnaîtras dans le commencement ..
Qu'est ce que je suis ?
Qu'est ce que je suis face à toi ? Face à mes amis ? A ma famille ? Qu'est ce que je suis pour tout ces inconnus qui circulent dans ma pauvre petite vie ? Ne suis-je qu'une passante, de celle que l'on oublie après un regard échangé ? Où suis-je une simple rencontre, de celle qui peux vous faire dévier, rien qu'une minutes, le temps d'une discution, du but pour lequel vous vous étiez levez ce matin ? Suis je seulement importante ? C'est intérraissant ça, qu'est ce qui me qualifie de telle, qu'est ce qui fait de moi que l'on aimerait en savoir plus ? Qu'est ce qui peut faire de moi quelqu'un d'unique ? Tout est si fragile, je ne suis même pas sûr que l'on est la moindre emprise sur qui l'on est. Ne sommes nous pas la suite logique d'ébats sexuels, de deux personnes qui se sont dit s'aimer, et avant même celà de toutes ces fois où ça n'a jamais abouti ? L'on n'est que le fruit du conditionnement d'une société qui nous façonne à sa manière. On naît, pour survivre, avant de mourir. On ne fait que s'adapter à des règles que l'on réfute, dont on ignore le coordinateur. Je ne suis en fait pas plus unique que tous ceux conditionnés de la manière que moi. Ce que je pense être des qualité, ne sont que des mots que vous apposez tout près de mon prénom. Juste une idée que vous vous faite de moi. Une idée de plus, parmi tant d'autres. Finalement même mes défauts n'en sont pas vraiment. L'on n'est pas grand chose en fait. Une pensée alors ? Peut-être. Et encore une pensée qui ne s'assume pas comme telle. Une pensée vaguabonde, fuyante parmis d'autres tout aussi furtives. En dehors de ce sur quoi l'on croit avoir une infime emprise - et je dis crois parce que ce n'est pas réèlement le cas - sommes nous même capable d'agir par nos propres moyens, dans la mesure où tout conditionnement nous serait enlevé ? Dans la mesure où il ne nous resterait que notre simple liberté, notre dit "libre arbitre" ? Tout s'effrite si vite quand on essaye d'avoir des réponse claires. On n'est vraiment pas grand chose. Voir rien. On n'est même pas le soufle seul de notre esprit pensant. Rien que du vent. Du vent doté d'un corps. Du vent qui parle. A qui l'on aurait donné l'impression d'avoir les plein pouvoirs. C'est pour celà même que l'on n'est pas capable de grand choses. Que voulez-vous que du vide pensant -et encore, du vide pensant mal- fasse de bien changeant pour le monde ?
Aidez moi à trouver un site descend pour vous fournir de la musique ...
En attendant je ferrais de la sorte :
Playliste : La Femelle Du Requin - Jack The Ripper
Mardi 23 février 2010 à 20:55
Même si celà se fait plus ou moins vite, après la pluie, vient toujours le beau temps. Et le surplux de rage s'estompe dans l'écoulement de nos trop nombreuses larmes déversées.
Samedi 20 février 2010 à 19:09
Son regard flou, ses insistances. Ma paranoïa.
Tout ce temps que je n'ai plus besoin de perdre.
Tous ce(ux) dont je peux enfin profiter !
Vendredi 19 février 2010 à 2:19
Je suis heureuse et j'ai envie de le crier sur tous les toits. Je suis heureuse, je ne sais pas comment le dire. J'ai bêtement l'impression que le monde m'appartient.
Mes mots s'envolent, mon ventre explose, mes sourires se font de moins en moins espacés. Les tracas du quotidien s'effacent presque lorsque je passe le pas de ma porte, quand ils s'acharnent un peu trop sur moi. Mais n'en parlons pas puisque ce soir je suis heureuse ! Dans ces cas là je passe généralement pour une folle, d'ailleurs je m'affolle pour un rien. Je deviens niaise à en vomir, je suis bêatement perdue loin des autres, pour peu je retomberais à l'école primaire. Les garçons attrappent les filles, je te mords si tu m'embêtes, "viens on se donne la main" ...
Je suis juste heureuse, ne m'en voulais pas si je ne sais pas comment vous l'expliquer.
Playliste : L'Instable Featuring Dominique A - The Fitzcarraldo Sessions