Les miracles n'existent que dans la bible
Mercredi 26 novembre 2008 à 22:16
Les miracles n'existent que dans la bible
Mardi 18 novembre 2008 à 21:36
J'ai de la barbe, ...
Renouer.
Bien souvent on oublie que ça ne vient que d'un simple coup de fil inatendu.
D'une rencontre inopinée dans le car du retour.
D'une conversation qui à mal tournée à notre inssue.
D'un passé qui remonte un peu trop vite sans qu'on y fasse trop gaffe.
..., et EN PLUS je suis prétentieuse.
Enfin il parrait.
Certaines choses ne peuvent déscement pas changer.
Et c'est tant mieux pour quelques cas.
Pendant ce temps, les plus jolies choses restent à leur place,
mais on arrive toujours pas à les attrapper.
Dimanche 16 novembre 2008 à 23:14
- Dis tu fait quoi toi pour montrer tes sentiments à un garçon ?
- Moi ? J'oublie de lui dire que je l'aime, je fais les gaffes qu'il faut pas, quand il faut pas. Bref tout le contraire des autres gens quoi.
- ...
- Ah et puis je prévoie de débarquer, le jour où surtout il ne faudrait pas, habillée en robe blanche, l'air mariée jusqu'aux dents, avec du violet en plus, tentant de lui demander implicitement s'il ne voudrait pas qu'on se fiancie, même pas serieusement. Malgré tout, malgré ma stupidité, ses peurs.
- ...
- Sauf que je n'ai jamais osé et je me suis dit que s'il ne comprennait pas par lui même, c'est que sûrement il devait être déjà trop tard parce que bon.
Depuis je suis mariée et j'ai deux enfants, alors t'imagines bien que j'ai un peu oublié comment on fait pour séduir un homme. ^^
Vendredi 14 novembre 2008 à 22:26
Il devait être minuit passé, le ciel n'était pas étoilé pour cause de mauvais temps et il faisait froid dehors, assis dans l'herbe.
Cela devait bien faire vingt minutes que nous avions quitté la fête et ces autres énergumènes qui s'accrochaient au fait, qu'une fois bourrés, demain, ils iraient mieux. Peut-être.
Tu avais sûrement dû croire que j'étais tombé dans le panneau du mec pas fréquentable, mais que l'on fréquente l'histoire d'une soirée à moitier inconscient de nos actes, parce qu'on à cru au baratin du coeur tout timide caché sous la coque dure. J'aurais peut-être du t'avouer que je savais pertinament où tu voulais en venir et que je n'attendais que l'occasion pour te le faire comprendre.
J'aurais pu mais la soirée aurait été beaucoup moins drôle. Et puis j'aimais bien faire durer les choses.
Alors je t'ai suivi lorsque tu me l'avais demandé. C'était peut-être pas non plus la bonne idées du jour, mais bon, comme je l'ai dit on était tous un peu bourrés et plus inconscient que consciencieux.
- Dis, ca te gènerait si je t'embrassais, là comme ça ?
On y était. Je ne dirais pas que j'avais attendu cet instant toute ma vie, mais j'avoue que j'étais bien contente d'y arriver enfin. Une occasion comme une autre de combatre un passé, tous ces salops aux autres pseudos coeur d'or planqué et de me venger un peu aussi. Pour le mal fait. Pour le dire au moins.
Et puis ça m'amusais bordel.
- Tu sais, une fille peut bien draguer un mauvais garçon, toute la soirée si ça lui tente, elle peut être touchante, gentille, attentionnée, attentive, l'écouter, lui répondre. Elle peut même l'atendrir, bien rigoler à ses côtés, lui envoyer des signes et lui faire croire qu'il lui plaît, oui oui carrément, il n'empêche qu'elle ne le ramènera jamais chez elle. Elle finira toujours par épouser le gentil gars. Quoi qu'elle en dise, quoi elle ai pu lui faire croire. Quoi qu'il arrive.
- Peut-être ... peut-être mais ça ne l'empêchera pas de se laisser séduire par le mauvais gars et de succomber à ses charmes. Même si ce n'est que l'espace d'une soirée arrosée.
Que voulez vous, prise de cours, je l'embrassai. ...
... et plus si affinitées
Vendredi 14 novembre 2008 à 19:28
Elle ne s'était jamais vraiment rendue compte de la situation dans laquelle elle s'était trouvée.
Non pas qu'elle l'ignorait, mais plutôt qu'elle avait toujours cru qu'elle tennait les rènes bien en main, poings sérés, si fort qu'elle était persuadée que rien ne s'en échaperrait.
Elle croyait tout comprendre. Tout savoir. Sur les autres. Et se débrouller seule.
Elle se surprennait même de temps en temps à se croire invincible. Mais ça ne durait pas longtemps.
Elle pensait qu'un simple sourire réglait tout, et que les pleurs en fait c'était que pour les lâches.
Toujours plus fort, toujours plus faux, elle affirmait qu'elle ne cèderait pas la première.
Puis criait le contraire.
A croire que c'est ce qui l'avait perdu.
Quand certaines situations se présentent, il arrive qu'il faille faire certains choix.
Le plus dur n'étant pas de les faire mais de les assumer.
C'est comme ça.
Parfois seulement on fini par s'y faire.