Il est grand temps de vivre la vie que l'on s'est imaginée !

Dimanche 20 avril 2008 à 18:44



Issus de divers (vers >_<) textes écrit il y a ... un ou deux ans je dirais :

Par delà les rideaux, je peux voir la clarté de la lune, si blanche ce soir. En même temps, ici, je n'y vois rien. Mes yeux ont fini par s'habituer à l'obscurité mais c'est comme si je ne savais plus voir. Ils sont ouverts et pourtant je n'y vois pas. Tout est flou. Comme j'aimerais les fermé maintenant et m'endormir. Enfin. Ils ne semblent pas vouloir...

C'est fou quand j'y repense ... [...]
je me suis mise sur la pointe des pieds et le reste a suivi. Ca n'a pas été aussi fort que je l'imaginais, ça n'a pas été à la hauteur de mes maintes espérences. ca n'a pas été mon premier baiser non plus. Je n'ai pas ressenti tout ce qui m'avais traversait la première fois que. Je ne sais pas si .... Par la suite je ne t'ai rien dévoilé. Pourquoi te l'aurais-je dit ? Je n'ai jamais trouvé en toi ce que j'y était venu cherché depuis tout ce temps. Et les secondes se sont accélérées. Tu m'as alors regardé, des étoiles dans les yeux, mais de ce regard étrange que je te connais bien et que je n'aime pas. Celui dont tu te gardes bien de nous préciser le sens.
Puis je suis redescendu, un sourire faux aux lèvres mais tu ne l'as jamais su.

[...] Assise à ses côtés, j'attendais. J'attendais comme à mon habitude, comme maintenant encore, de voir la suite des évènnements. Je ne le regardais pas pourtant. Je crois bien que depuis le début je n'avais dû lui jetter que deux regards tout au plus. L'un en arrivant, l'autre, furtif. Une erreur d'aiguillage. Aujourd'hui je ne sais pas pourquoi mais de son regard je n'en voulais pas. Trop lourd à porter peut-être. Ou tout le contraire. Avais-je peur d'y trouver un regard trop superficiel à mon goût, un regard qui n'était là que pour faire plaisir. Par pur esthétique et rien d'autre. Finalement je l'évitais je crois, comme pour prendre de la distance et du recul face aux choses qui se déroulaient. Juste pour me donner l'impression que ce que je vivais n'était qu'un rêve, juste sorti de mon immaination. Et que lui, en fait, n'était pas vraiment présent.

Dimanche 20 avril 2008 à 17:31

 

 

Voilà juste quelques apperçus pris dans ce que je fais en ce moment :


[...] On était comme ça, toi et moi, et cette même bonne humeur que je te connaissais bien. Celle qui ne te lacha plus à partir de ce jour et qui remplaça la tristesse qui t'emprisonait.

[...] Après que je sois parti, même si tu avais compris par toi même la raison de mes actes, on aurait pu croire que tu chercherais à me retrouver, ne serait-ce que pour entendre mes propres explications, ne serait-ce que pour en être sûr. Mais non. Ce n'était pas ton genre. Je le savais bien pourtant, que tu ne tenterais plus rien à partir de cet instant. Mais je m'accrochais à cet espoire comme à la dernière branche brisée qui aurait pû nous donner l'illusion qu'on ne sombrerait pas. Pas maintenant. Et pas comme ça.

[...] Une fin en noire et blanc, de grandes embrassades et tout le monde qui souri avant le "the end". C'est ça que je voulais. Mais il parrait qu'on n'était pas dans un film. Imposible de retourner en arrière, de rembobiner pour aller modiffier certains moments, ceux qui ne nous ont pas plu. Impossible aussi de faire un arrêt sur image ou de choisir la fin qui nous conviendrait le mieux. Au lieu de ça, elle me fait la bise, s'en va en souriant, comme toujours, passe la porte et. Le carillon de l'entré résonne dans tout le café. A travers la vitre je la regarde s'éloigner, tourner au coin d'une rue, sous la pluie. A nouveau seul, je paie l'addition. Bientôt je sortirais à mon tour, mon briquet à la main, j'ouvrirais la porte et les fumée des cigarettes s'échaperont avec moi , vers un monde plus froid. En emportant avec elles toutes mes espérences.


Mercredi 2 avril 2008 à 22:41



J'avais envie de vous raconter une histoire ce soir. Comme ça, à la volée. Vas savoir pourquoi. Pourquoi ce soir. J'avais envie de vous raconter une histoire, sans plus ni moins. Où il n'y a rien à comprendre puisque je viens de l'inventer sans que je sache d'où elle me vient. Parce qu'à moi ça me manque en ce moment, celles que l'on me racontait pour m'endormir. Qu'elles se finnissent bien ou mal.

 

Il est 10h et plus rien ne va. Le monde vient de s'écrouler sous mes pieds. Ma maison tombe en ruine, les volets ont explosés en lambeaux, et le feu prend rage dans la cuisine. Oui au sens propre je parlais. On appele à l'aide un peu plus loin.

On s'était rencontré dans un café. L'histoire banal, d'un mec banal sur lequel une serveuse renverse le café qu'elle lui apportait. Banal quoi. J'ai eu chaud ce jour là. Elle elle était morte de rire et ça a tout changé. Son patron l'a viré mais nous on ne s'est plus quittés. Je n'ai jamais su d'où lui venait cette force, celle de tout prendre avec le sourire. Elle avait beau vivre les pires emmerdes qui puissent arriver, et si vous saviez ce qui lui en arrivaient, elle gardait contament ce sourire coquin aux lèvres. Eternellement. Pas un jour je crois que, ... non pas un jour elle n'est rentrée en faisant la gueule. Certains te disent d'être heureux, d'autres t'en parlent comme d'un souvenir oublié, elle, elle le vivait chaque jour. Va comprendre pourquoi, mais elle vivait pour ça et c'est ça qui la maintennait en vie.
Et ça lui allait si bien.


Je referme ce qui reste de la porte, comme si de rien n'était. Ca fait beaucoup trop de boucan là derrière. De toute façon qui me verrait maintenant ? Ils sont tous morts, ou presque tous.

Là, ça faisait bien longtemps qu'on ne s'était pas vu. Une embrouille de merde, je ne me souviens même plus. Faut pas chercher dans ces cas là, juste persister. Le gagnant c'est le plus con et nous deux on est fort à ce jeu là, alors évidemment ça peu durer un moment. Trois mois je crois. J'arrive pas à croire que ça ne me marque pas plus que ça. Vas savoir. C'était peut-être moins important que ce que je pensais. Trois mois quand même. Sans la voir, sans lui parler, interdiction d'y penser aussi. Trois mois sans sentir son sourire dans mon dos. J'ai jamais trouvé d'où elle le sortait, de ces entrailles, du plus profond de son être qui sait, de son coeur ? Un appel, juste ça. Son rire derrière le combinet, c'est tout ce qu'il me fallait.
Alors j'ai foncé. 

Je pose un cadenas, désormais le seul gardien d'un passé, tout autre, qui ne m'appartient plus. Quelqu'un le réouvrira sûrement un jour, mais je ne serait plus là pour m'appercevoir de l'empleure des dégats. Je m'en vais et je ne me retourne surtout plus. Elle crie derrière la porte. Et vas savoir pourquoi.



Ne vous y trompez pas, je vais bien.

Samedi 22 mars 2008 à 18:10


 


J'avais envie de te dire de ne pas partir. De ne pas me laisser là, toute seule.
J'ai eu envie de te dire des mots doux, ceux que certains savent si bien dire dans ces circonstences. Je voulais te dire que si tu m'aimais vraiment tu ne partirais pas. Pas comme ça. Mais tu est parti. Alors m'aimais-tu vraiment ?
Je t'ai laissé t'en aller. Je t'ai laisser partir et m'oublier par la même occasion, même si c'était à contre coeur. Même si ça ne plaisait pas à tout le monde. Et ça n'a plus était que quelques appels devenus bien trop rares à mon goût. Et puis rien d'autre.

Là j'irais te chercher à la gare. Et j'ai envie de t'y dire tous ce dont je me suis retenue la dernière fois, tout ce que je me suis interdite jusqu'ici. Je t'attendrais sur le quais avec un peu d'avance pour te voir venir de loins. Alors je crirais ton nom et ça résonnera dans le hall et je courrais vers toi, comme une furie, droit sur toi, sans m'arrêter, et tu me souriras. Tu lacheras simplement tes paquets trop encombrants dans cette situation et tu m'ouvriras tes bras pour que je m'y réfuge. Et je t'aurais sauté au coup et tu m'aurais sérré un peu plus fort pour que je me sente au chaud et je t'aurais dit que j'attendais cet instant depuis des mois maintenant. Tu me dirais dans le creux de l'oreille "Tu vois qu'il n'est jamais trop tard" et je t'embrasserais la joue comme jamais elle ne l'aurait fait. Nos lèvres se seraient éffleurées ensuite et je n'aurais osé aller plus loins. Mais dans un de tes rares élans de courage tu prendrais les devants, ça m'aurrait fait plaisir pour changer et puis ...

On resterait ainsi quelques minutes enlacés entre les passants, et ils auraient fini par croire que nous étions deux amants pas revus depuis des années alors que. Et puis c'est moi qui me lancerais la première en te disant que je t'aime et ce, en te fixant droit dans les yeux. Et puis après deux secondes qui m'auraient parrues une éternité, tu m'aurais dis de même et on se serait regardés amusé, puis gênés dans ce hall de gare si peu personnel. Tu m'aurais alors dit qu'il était tant d'y aller et j'aurais attrapé tes bagages en me dirigeant vers un café car après tout, le temps ne préssait plus. On se serait alors raconté nos vie qu'on se cachait jusqu'ici, et que malgré eux c'est à nous qu'on pensait quoi qu'on ai pu dire. Aurais alors pris ma main et te serais levé pour aller en direction du train. On se serait promis que contrairement aux autres nous on s'écrirait encore et qu'on se dirait qu'on s'aime en le pensant vraiment. Et on en serait resté là.

Dans le train on n'aurait pas trop osé se parler, trop gênés de toutes ces déclarations peut-être un peu trop tardives et on aurait rejoint la fête qui battait son plein, la tête rassurée et le coeur léger.

 

Samedi 15 mars 2008 à 22:15

... mouais enfin de retour c'est un bien grand mot. Enfin je crois.
Mot bien trop grand pour illustrer le simple fait que j'avais une petite (grande tu veux dire ? ), bon grande envie d'écrire, et que ça me manquait.

En attendant de tout vous balancer d'un coup - ce que soit dit en passant je ne ferrais point puisque certains textes me semblent beaucoup trop "hors saison" maintenant pour être ressortis comme ça, comme de vieux paquets de chaussettes pas cuites - voici ça :


- Dis pourquoi tu crois qu'on va tous partir un jour ?
- Ca me parraît pourtant logique non ?
- Non.
- Parce que de toute façon il le faudra bien à un moment ou à un autre. C'est comme ça.
- Oui mais moi je veux pas moi.
- puisque t'as pas le choix je te dis. Si c'est pas pour demain, ce sera pour après. Et si c'est pas après, ce sera pour plus tard !
- Mais j'en n'ai rien à faire. C'est quoi cette manie que vous avez tous  à vouloir diriger ma vie ?
- C'est l'impression que ça te donne ?
- Oui !
- T'u t'es encore engueulée avec Frédérique ?
- Oui.
- Désolé.
- Bof. Puisque je te dis que je m'en contre fout.
- ...
- Et euh, tu crois qu'il voudra bien Frédé, partir avec moi si je lui demande ?
- Non, j'y crois pas trop.
- Franchement ?
- Franchement.
- Bah merde.
[...]
- Mais moi je prendrais un billet avec toi si tu veux. Et même si tu me le demande pas.






Et puis merci à vous deux. Je n'ai jamais étais vraiment très douée pour les remerciement et je ne le dirais sûrement jamais assez mais sincèrment merci.
Et de vous êtes réconcillié accesoirement aussi.

Et puis mater ce violet mais alors ma-gni-fique ! =p

 

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