La normalité n'est qu'un fantasme rassurant.

Mercredi 8 février 2012 à 19:07

 

Ca y est, les mots sont sortis, les dès jetés et les chiens délivrés. Ca fait du bien quelque part. Il y avait certains signes et pourtant je n’ai rien vue venir. Je ne sais si c’est parce que je refusais de l’admettre ou que ce n’était juste pas du tout le bon moment mais les évidences me sont un peu passées à côté. Depuis le temps que je faisais des pieds et des mains, je devrais être soulagée. Faut croire que certains ont moins de mal que d’autres, étonnant lorsque l’on sait qui décida pour l’autre. Dans un autre registre, je peux dire que ça me troue le ventre, même si pour certains je mériterais bien plus. Parce qu’au final, ce jour là, si tu avais été un chouilla différente, ç’aurait clairement été autrement. Ce ne serait toujours qu’une idée inavouable, irrésolue, presque impensable. Contrairement aux apparences, les divagations premières ne s’élevaient pas à plus d’une fois. Mais voilà, on ne revient pas sur les choses alors on ne se leurrera pas non plus sur l’importance de notre libre arbitre. Nos relations déjà tortueuses n’iront sûrement pas en s’arrangeant mais j’imagine que si je prenais la peine d’ouvrir les yeux, je me rendrais compte que cela fait bien longtemps que tu n’entretiens plus ton côté. A peine citée, il est de ces personnes dont on se demandera constamment si l’on comptait plus qu’une autre. Et puis il y a ceux pour qui l’on sait que l’inachevé est la seule manière de continuer de rêver, effaçant presque chaque soir, toutes les bonnes choses qui reste d’un passé.
 

Dimanche 5 février 2012 à 20:56


Et il en pense quoi lui de tout ça ?
Bah tu le connais, la tête dure comme il a, son avis n'a pas beaucoup évolué.

L'hiver est là et tous on l'air de s'en étonner. C'est pourtant bien la bonne période. Oubliant les beaux jours, on se console du paysage d'une neige d'après nuit, pour mieux faire face au froid qui nous ronge jusqu'à l'os. Hier encore je fulminais tellement ton corps me brûlais que ça en devenait désagréable. Je me permettais alors cette dernière cigarette, en vue du couché de soleil qui tombait sur la plaine. Les temps changes, rien n'y peu rien. Et on est très loin de ce qui était prévu à la même date. Il paraît que tu finiras par ressentir un manque, je n'en suis pas fermement sûr mais pour peu, il me tarde d'entrevoir ta réaction.

Comme si l'Homme pouvait changer ou admettre sa bêtise …
 

http://purpleheart.cowblog.fr/images/pttchut.jpg

Dimanche 28 août 2011 à 2:38

 
Lorsque demain tu leurs diras la vérité, n'oublies pas de bien expliquer les faits. Le pourquoi du comment. Le comment du pourquoi. Et tout le reste. Dis lui qu'elle n'y ai pour rien, ne lui ment pas après tout, elle mérite bien la vérité. Ce qui fut d'abord un simple accident, s'est malencontreusement transformé en romance. N'oublis pas. Lui aussi à le droit de savoir. Que ce qui commença lors d'une étrange aventure, n'étais en fait pas un si beau début d'histoire. Explique leurs, toi qui pense en être capable. Toi qui sais tout, puisque tu crois si bien faire les choses. Ne parle de moi que pour ce dont tu es sûr. Le reste je m'en charge. Quel intérêt, d'aller remuer des choses dont on a déjà parlé. Sincèrement. Franchement ? Des fois c'est à ne plus te comprendre. Tu me diras depuis si peu, il aurait été étonnant du contraire. Ne gâche pas tout je t'en pris. Je risquerais de ne pas apprécier. Ca m'embêterait beaucoup que tout se termine aussi byzarement que cela à commencé.

Dimanche 17 avril 2011 à 2:17

 
Parfois j'ignore qui de nous deux n'est pas celui qu'il montre être. A force de chat et de souris, on fini par se prendre au jeu, plus qu'on ne le souhaitais initialement. Tu cours bien plus vite et pourtant je manie mieux les sentiments. Tantôt tu y gagnes tantôt c'est moi. Ce n'est que batailles sans fin, prises de positions en tout genres, alternance de rires et coups de gueules. Personnes ne gagne jamais réellement. Au fond je regrette ces premières rencontres, où au simple flirt suffisait ton regard furtif, timide sur mes cuisses entrecroisées, lorsque que tu t'immiscais entre moi et celui qui commençait à trop se rapprocher à ton gout. Lorsqu'on n'avait pas besoin de grand chose pour savoir à quoi pensait l'autre.

Vendredi 28 janvier 2011 à 20:19


Quelque part cachées derrière leurs sourires colgate et leurs dents encrassées, il y a des personnes en qui vous avaient confiance qui vous dénigrent sans compassion. Une de ces personne à qui hier vous avez dit bonjour et que vous avez cru bon aider, voyant que la vie ne lui souriait guère. Attention derrière le masque des belles gueules, on trouve parfois les plus beaux des salauds !

PS : Vous avez vu que j'ai un nouvel habillage, dites dites, vous avez vu ? ... vous n'en avez peut-être rien à foutre aussi :)

<< Allons de l'avant | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Retour en arrière >>

Créer un podcast