Je ne sais plus vraiment ce que j'ai dit ce qui était vrai, ce qui sortait de mon imagination. Je voulais juste un peu de paix jusqu'à noël. Etre tranquille pour fabriquer ses cadeau, ne plus me sentir oppresser. L'aimer pour ce qu'il ai.
J'ai dit franchement plein de chose hier, franchement n'importe quoi même. Il me semble que ce soir tout sera déjà tellement loin. J'imagine peut-être à tord que l'échéance était d'une journée de rattrappage. Je n'ai pas dormi de la nuit. Il m'a blessé tout autant qu'à l'inverse. Il a été vulguaire et ça j'ai un peu de mal à 'accepter. Sûr que dans l'histoire c'est moi la plus fautive ... enfin ça encore ça devient flou lorsqu'on y trie le vrai du faux. Mais ce qui est évident aussi, c'est qu' il vaut plus que le coup que je me donne du mal pour lui. Que je me batte. Même si à la manière dont il a tout gobé, si facilement, de là façon dont il me parle désormais, je sens que tout est déjà perdue. Je n'ai jamais été une guerrière dans l'âme, bien au contraire. Et quand bien même, il y a des combats que l'on a perdu d'avance. J'ose plus m'excuser parce que je fais mal, je n'ose plus pleurer parce que ça m'est interdit. Je n'ai plus droit à la parole alors à quoi bon ? Dans 2 ans on se réveillera tout les deux, je me rendrais compte de la bétise de mes mots et lui de même. On regrettera peut-être un peu. Ou peut-être pas, allez savoir. Parce que c'était un amour furtif certes, mais tellement fort que l'oublier en sera d'autant plus dur.
Voir impossible.