Un sourire réduit les distances.

Mardi 23 novembre 2010 à 16:52


Je ne sais plus vraiment ce que j'ai dit ce qui était vrai, ce qui sortait de mon imagination. Je voulais juste un peu de paix jusqu'à noël. Etre tranquille pour fabriquer ses cadeau, ne plus me sentir oppresser. L'aimer pour ce qu'il ai.

J'ai dit franchement plein de chose hier, franchement n'importe quoi même. Il me semble que ce soir tout sera déjà tellement loin. J'imagine peut-être à tord que l'échéance était d'une journée de rattrappage. Je n'ai pas dormi de la nuit. Il m'a blessé tout autant qu'à l'inverse. Il a été vulguaire et ça j'ai un peu de mal à 'accepter. Sûr que dans l'histoire c'est moi la plus fautive ... enfin ça encore ça devient flou lorsqu'on y trie le vrai du faux. Mais ce qui est évident aussi, c'est qu' il vaut plus que le coup que je me donne du mal pour lui. Que je me batte. Même si à la manière dont il a tout gobé, si facilement, de là façon dont il me parle désormais, je sens que tout est déjà perdue. Je n'ai jamais été une guerrière dans l'âme, bien au contraire. Et quand bien même, il y a des combats que l'on a perdu d'avance. J'ose plus m'excuser parce que je fais mal, je n'ose plus pleurer parce que ça m'est interdit. Je n'ai plus droit à la parole alors à quoi bon ? Dans 2 ans on se réveillera tout les deux, je me rendrais compte de la bétise de mes mots et lui de même. On regrettera peut-être un peu. Ou peut-être pas, allez savoir. Parce que c'était un amour furtif certes, mais tellement fort que l'oublier en sera d'autant plus dur.

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Voir impossible.
 

Mercredi 3 novembre 2010 à 0:19


C'est pas le grenier en sois qui dérangeait. C'était le noir, la solitude et les vieux souvenirs qui remontent. Les vielles pensées sombres. Le coeur qui s'accélère un peu, la respiration qui se coupe de plus en plus et c'est comme ça que la crise d'angoisse démarre.

C'est marrant comme les gens acceptent sans aucun problème certaines choses et en revanche refuse d'en comprendre d'autres. Pas si étonnant que ça finalement celui qui se sucide parce que sa vie lui semblait trop dure, mais alors une crise d'angoisse en pleine nuit quand une heure plus tôt c'était la fête, ça c'est abérant !

Lundi 25 octobre 2010 à 16:41


Le temps passe mais certaines choses restent identiques malgré les personnes.
 

Je ne sais jamais comment te prendre. Dans un lit ou avec des pincettes ? J’ignore ce qu’il se passe dans ta tête, le moindre de tes soucis, si soucis du moins il y a eu, comme la pire de tes admirables saugrenues idées. Désagréable sensation. Alors qu’à mon habitude je scrute tes pensées comme en ta compagnie, récemment j’ai l’impression que tout don m’est arraché.
Et ca m’agace !

 

Dimanche 25 juillet 2010 à 23:04


A son silence je ne dis mots. Je boue sans exploser. J'écoute mais sans critiquer. J'ai comme un goût amer dans la bouche, du déjà vue à en revendre. A même situation, bien souvent même résultat. Et c'est désolant. Alors je l'ai regardé partir sans se retourner parce que c'est ce que voulait la circonstance. D'un coup tout sembla être plus dramatique. Peut-être même trop.

A roi du silence, je t'ai vaincue à l'usure. Ne m'en veux pas si je suis plus forte que toi.
 
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