Dans mon monde, les étoiles ne sont que de simples grosses boules de gaz en fusion.

Jeudi 1er janvier 2009 à 17:47



Tu attends patiement que la fête te tombe dessus.
Malheureusement ce soir elle se déroulera sans toi.
Tu souris quand même.

Ce n'est pas tout à fait ce que tu attendais, faut dire qu'elle te deçoit beaucoup. Si on te l'avait demandé tu aurais dit que tout allait bien, qu'elle était géniale. Ca seulement parce que tu as toujours su rester à ta place. Alors tu ne le dis à personne.
Même si ça te démange térriblement.
Les apparences sont bien souvent trompeuses mais tu espérais qu'elle soit un tentinet différente. En la plaçant un peu trop haute dans tes espérances, tu avais oublié qu'elle était une simple fille comme une autre.

Au fond du canapé, un gars bourré essaie de lui faire comprendre qu'elle est une fille bien. Si tu n'étais pas parti si tôt, tu aurais vu qu'elle ne le croyait pas et qu'elle savait à quoi s'en tenir. Demain ça lui restera quand même en travers de la gorge.

Mardi 18 novembre 2008 à 21:36


J'ai de la barbe, ...


Renouer.
Bien souvent on oublie que ça ne vient que d'un simple coup de fil inatendu.
D'une rencontre inopinée dans le car du  retour.
D'une conversation qui à mal tournée à notre inssue.
D'un passé qui remonte un peu trop vite sans qu'on y fasse trop gaffe.



..., et EN PLUS je suis prétentieuse.
Enfin il parrait.


Certaines choses ne peuvent déscement pas changer.
Et c'est tant mieux pour quelques cas.
Pendant ce temps, les plus jolies choses restent à leur place,
mais on arrive toujours pas à les attrapper.

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Vendredi 14 novembre 2008 à 19:28


Elle ne s'était jamais vraiment rendue compte de la situation dans laquelle  elle s'était trouvée.
Non pas qu'elle l'ignorait, mais plutôt qu'elle avait toujours cru qu'elle tennait les rènes bien en main, poings sérés, si fort qu'elle était persuadée que rien ne s'en échaperrait.

Elle croyait tout comprendre. Tout savoir. Sur les autres. Et se débrouller seule.
Elle se surprennait  même de temps en temps à se croire invincible.  Mais ça ne durait pas longtemps.
Elle pensait qu'un simple sourire réglait tout, et que les pleurs en fait c'était que pour les lâches.
Toujours plus fort, toujours plus faux, elle affirmait qu'elle ne cèderait pas la première.
Puis criait le contraire.
A croire que c'est ce qui l'avait perdu.

Quand certaines situations se présentent, il arrive qu'il faille faire certains choix.
Le plus dur n'étant pas de les faire mais de les assumer.
 C'est comme ça.


Parfois seulement on fini par s'y faire.

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Mercredi 5 novembre 2008 à 10:57


Elles ont toutes joué un rôle plus ou moins important dans sa vie.


Que l'on parle de celles qui l'inspiraient ou de celles apperçues au loin sur un quais de gare.
Toutes celles qui passaient près de lui, s'en allaient plus ou moins rapidement, ou celles qui ne l'approchaient pas.
Certaines duraient, quelques temps, d'autres s'installaient.

Elles ce sont celles un peu trop fleurs blues à mon goût. Les trop fleurs ou d'une couleurs que je n'appréciais pas toujours.
C'est les trop coquettes, les coquines, les coquelicots, c'était des copines parfois.
C'est les sensibles, les pas que rette, et pi sans lit aussi.

Souvent Elles étaient de celles qui voulaient se différencier du lot. Celles avec des noms bizard.
Les originales.
C'est pour cela qu'ils s'accordaient bien.


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Elle ce n'était qu'une violette parmis tant d'autres fleurs.

Samedi 26 juillet 2008 à 19:39



" Vous verrez plus tard on sera tous des stars ! On sera riche, avec nos rêves de gamins en poches parce que oui, on les aura réalisé. On se retrouvera au Hilton par hasard évidemment, toi tu sera batteur dans ton grand groupe en devenir d'être connu les "Why not ?", toi tu vivras de ton art, que dis-je, de tes arts et tu te balladera en décapotable violette évidemment. Et toi, tu seras un grand joueur de poker qui rafflera tout à tous les coups. Pour sûr. Moi j'aurais plus trop la même gueule je crois, j'espère, mais vous me reconaîtrez parce que dans le fond je serais toujours aussi con avec mes philosophies à deux balles de soirs de lune. On reparlera de ce temps dans un des salons du Hilton, du temps de maintenant quoi et ça nous ferra bien marrer."

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