Les artistes mentent pour dire la vérité et les politicien pour la cacher.

Vendredi 17 juillet 2009 à 22:15



Le temps file vite et personne ne l'ignore. Que  soit les secondes, les jours ou bien les années on sait tous qu'ils faut en proffiter chaque jour. Pourtant on a souvent peur de ne pas avoir assez proffité et on trouve toujours à redire sur ce que l'on a vécut. On a toujours un repoche, un pic ou une remarque en attente, celui ou celle qu'il nous manquait sur le moment, quand les choses n'allaient pas ou qu'elles allaient trop bien. Ce qu'on aurait du faire, ce qu'on aurait du dire.

Elle vit en parrallèle de ceux qu'elle considère comme ses amis, comme deux routes tracées vers une même direction mais qu'on n'a pourtant pas faite pour se rencontrer. Quant au reste du monde elle ne le perçoit qu'au travers de sa bulle et c'est bien suffisant quand l'on y voit certaine horreures qui s'y passent.
Récement elle a rencontrée un homme tellement différent du reste que ca en deviens trop mieleux pour en parler. Il faisait partie de ceux qui vivaient en parrallèle d'elle, de ceux qui sortaient de la masse. Un de ceux qu'elle voyait de temps à autres tout en se demandant si ils continuaient de croire en elle, de ceux qu'elle appelait sans vraiment savoir qui ils étaient. Maintenant elle sait.
Il en vaut tellement la peine comme si peu avant lui, qu'elle s'y accroche déjà comme la dernière passerelle entre son passé et son future.

Ce n'était pas le but innitiale mais comme souvent je ne réfléchit pas innitialement.
Avec moi, les choses sont souvent différentes de ce qu'elles devaient être.

Jeudi 11 juin 2009 à 16:09



Je fixe l'écran sans relâche, sans vraies raisons apparentes, dans l'attente d'une mise en mouvement. Je guette le dénouement comme si ce n'était qu'une mauvaise blague dont on attendrait toujours la chute. Mais la chute ne vient pas et les apparences semblent bien réelles. Les mots veulent simplement dire ce qu'ils expriment et rien d'autre.

Mercredi 10 juin 2009 à 22:44

 
Une accolade furtive. Un baiser un peu trop de côté. Des intensions que l'on devine.
Un clair de lune.

Dimanche 17 mai 2009 à 16:51


Alors forcément on s'engueulait souvent. C'est vrai que je t'aimais sans jamais te le faire entendre, que ta jalousie m'amusait quand je ne savais que dire d'autre. Mon humour était plutôt incompréhensible, et l'on ne se comprenait pas toujours. Il est bien vrai que je te jouais de sales tours, je crois même que je te piquais toute la couverture. Tu respirais un peu fort, moi j'avais les pieds froids et je trouvais que c'était dans l'ordre des choses. Je te prenais souvent le tête mais c'était pour ne pas montrer que tu m'impressionnais.
Forcément.

Mais il y avait tout le reste.
Et on l'a si vite oublié que ça m'en retourne le ventre.

Mardi 10 mars 2009 à 20:25


Quand le soir tes yeux se plissent sous la fatigue de tant d'heures passées à vivre sans s'arrêter.
Quand mes joues rougies par le froid entrent en contacte avec ta peau brulante.
Quand je le vois sourire tout en sachant qu'il cache bien d'autres choses.
On est toujours pas bien plus que ça. Juste un peu trop proche quand même.
Y a se désordre aussi dans ta vie et puis dans la mienne. Nos soupirs.
Ta façon de tout prendre à la légère, ça ça m'a beaucoup plu.

<< Allons de l'avant | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | Retour en arrière >>

Créer un podcast