"C'est l'un des privilèges de l'âge que d'être chiant sans qu'on puisse vous critiquer." (Gabrielle)

Dimanche 7 février 2010 à 7:48

 
Le 6/02/09
je prend pleinement conscience que l'on est tous des salops

 Je pense qu'il y a des erreurs que l'on a besoin de faire, même si l'on a conscience de leurs profonde stupidité. Parce que si on ne les commet pas c'est le genre de choses qui finit par vous ronger à vie et vous perdre dans le doute. Je ne dis pas non plus que c'est la bonne chose à faire que d'aller se foutre sois même dans la merde, je dit juste que parfois l'on a besoin de toucher du doigt le fond du problème pour prendre pleinement conscience de la bétise humaine que l'on s'apprête à commetre et de tout ce qu'elle risque d'engendrer.

Alors on a couché ensemble. Encore. Bon voilà. Une belle connerie.

Vendredi 15 janvier 2010 à 17:03




Bonjour gens, et je dis gens non pas parce que je ne vous apprécie pas mais parce que comme vous ne l'avez pas compris c'est comme ça que je nomme les personnes de mon entourage. Alors récapitulons, Jacks pour les intimes, gens pour ceux qui osent franchir la limite qui les séparent de mon monde et la masse pour tout le reste. Vous voyez pour moi ça reste nettement différent, vous n'êtes pas une de ces personnes de la masse, que je croise tout les jours sans pour autant m'en souvenir le lendemain, sans qu'elle ai la moindre prise sur ma petite vie. Non vous êtes un gens à part entière, un gens qui a su prendre la parole pour se différencier du lot. Alors oui c'est sûr que c'est étrange, des Jacks, des gens, des mots tout ça finlement, oui mais mes mots à moi, dans mon univers, qui me permettent de croire encore un peu à mon tour que je suis différente du reste du troupeau.
 

Vendredi 15 janvier 2010 à 16:34

 
Il avait raison. Il a souvent raison quand je préfèrerais qu'il ait tord. Tout ne se passe pas comme prévue, rien n'est comme il devrait être, tout se déplace beaucoup trop vite à mon goût. En me levant ce matin l'envie n'était plus là. Le beau temps n'était pas au rendez-vous, Lui s'en était allé, quand à elle, elle m'emcombrait la tête. Elle, ses envies, ses intentions, son amour que je trouve trop pesant, son manteau rouge. J'ai peur qu'elle ne souffre de trop en lui offrant son coeur et en même temps je crain qu'il ne l'accepte. Je ne veux pas qu'il la blesse et je ne supporterais pas qu'il lui appartienne. La vie ne me semble pas toujours savoir clairement ce qu'elle attend de nous.

Demain j'irais rejoindre ceux pour qui rien ne semble se déplacer.


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Vendredi 15 janvier 2010 à 16:21



Il y a de ca deux ou trois nuits.
au retour d'une belle fin d'après-midi

 
Je suis entrée dans un monde, celui de la luxure, de l’inconscience et de l’ignorance.
Un monde où les vielles femmes, se retrouvent au bar pour fumer en bonnes compagnies, où elles se parent de leurs plus beaux bijoux juste au cas où, pour le hasard d’une rencontres. C’est le monde des apparences, de l’étalage de sa richesse et des voitures à cent milles euros que l’on conduit alors qu’on n’a pas ses vingt deux ans. C’est un endroit où j’y retrouve tout ce que je déteste, les personnes, comme les lieux, comme l’inerte.
Un monde où je ne m'aventure que pour le retrouver.

Vendredi 15 janvier 2010 à 16:15

 
Elle, semble posséder tous les symptômes de la femme amoureuse.
Je dis femme parce que lorsque l’on voit le regard de certaines filles envers certains hommes, lorsque l’on voit leur visage s’illuminer à la simple approche de celui qu’elle croit être le bon, on ne peut plus alors les surnommer fillettes. Elle passe alors en un clin d’œil de la petite fille de neuf ans qui ne sait pas encore ce qui l’attend, à la grande dame qui a déjà parfaitement conscience que tout finira mal même si elle se laisse prendre au jeu malgré tout.
Elle semble posséder tous les symptômes de la femme amoureuse, le seul souci est que cet homme je l'aime aussi. Elle le regarde tendrement lorsqu’il lui parle un peu trop près sans se rendre compte de rien et le serre juste un peu plus lorsque l’occasion se présente de le prendre dans ses bras. Elle aime à l’étreindre faiblement quand à l’abri des regards, dans une salle un peu trop sombre il s’avère qu’elle se retrouve étrangement à ses côtés.
Je les regarde de loin, je suis tristement jalouse simplement parce que je l’aime trop. Je l’aime un peu plus qu’un frère, un peu moins qu’un amant. C’est l’homme que je n’épouserais jamais, que j’admire plus que tout et que j’idéalise plus qu’il ne le faut. Elle dit l’aimer. Sûrement pas assez pour le mériter mais juste un peu trop à mon gout, juste ce qu'il faut pour m'agacer.

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