Les humeurs changent et je poste du passé.
..
Y a ce rêve récurrent, un grand appart en plein cœur de Paris. Plutôt spacieux, je dirais même luxueux avec ses voutes et son immense hauteur sous plafond. Dans mon rêve c’est chez toi, plutôt drôle lorsque l’on confronte la fiction avec la réalité. Les seules choses qui restent pour ainsi dire identiques sont les affiches de femmes plus ou moins dévêtues exposées un peu partout, le désordre notoire et la présence d’un grand miroir central. Ce qui change par contre c’est la cave par exemple, à la sortie du salon. Ca fait comme une sorte de labyrinthe. Souvent j’y entre, mais jamais pour les mêmes raisons. Un coup c’est une bouteille que je voulais chercher, une autre fois une simple envie d’exploration. Le fait est que je fini toujours par m’y perdre. Commence alors ce dédale dans les couloirs, parfois course contre la montre pour cause d’un danger presque imminent. Parfois j’y trouve des énigmes aux murs, sortent d’épreuves à passer pour retrouver le chemin. Mon pouls s’accélère, la pression monte, la chaleur avec. Je commence à m’essouffler, à tousser. Entre les ruines d’un ancien temps et les décombres d’une autres vie, je m’étouffe, m’asphyxie et le noir fini par m’envahir lorsqu’enfin je m’évanouie.
Bien souvent je me réveil dans tes bras, quelques fois sur le sofa comme un simple mauvais rêves dans mes songes. D’autres fois encore rien de tout ça n’a le temps d’arriver car la réalité me rappelle en sursaut, toute tremblotante de sueur froide et je prend conscience, que je suis encore seule, dans une chambre si sombre que l’on aurait pu la prendre pour un cercueil.
..
Il paraît que tu me manques.
Bien souvent je me réveil dans tes bras, quelques fois sur le sofa comme un simple mauvais rêves dans mes songes. D’autres fois encore rien de tout ça n’a le temps d’arriver car la réalité me rappelle en sursaut, toute tremblotante de sueur froide et je prend conscience, que je suis encore seule, dans une chambre si sombre que l’on aurait pu la prendre pour un cercueil.
..
Il paraît que tu me manques.