Le temps passe mais certaines choses restent identiques malgré les personnes.
Je ne sais jamais comment te prendre. Dans un lit ou avec des pincettes ? J’ignore ce qu’il se passe dans ta tête, le moindre de tes soucis, si soucis du moins il y a eu, comme la pire de tes admirables saugrenues idées. Désagréable sensation. Alors qu’à mon habitude je scrute tes pensées comme en ta compagnie, récemment j’ai l’impression que tout don m’est arraché.
Et ca m’agace !