Un sourire réduit les distances.

Samedi 9 octobre 2010 à 12:00

 

Cette manière que j'ai de trembler sous la presque jouissance de deux corps qui se rencontrent. Cette façon que j'ai de me retenir, jusqu'à ce que ça m'en devienne impossible. Tous ne me connaissent pas de la sorte. Certains penseront que si, alors que ce n'était qu'une simple histoire de comédie. D'autres au contraire savent pertinemment de quoi il s'agit. Il y a cette chair de poule partout sur mon corps, la pression entre deux qui se fait de plus en plus forte. Les coeurs qui s'emballent pour un rien. Le mien entre autre. Pour un effleurement. Parfois pour plus. Les cheveux que je me laisse caresser à cette seule occasion. Mes quelques morsures, les griffures. Ma peau chocolat et il paraîtrait mon odeur de cannelle. Ma souplesse comme mon imagination. Il y a ceux qui pensent tout connaître et il y a les autres. Il y a tout ceux qui pensent m'avoir vue ainsi, alors que je n'ai fait que jouer un rôle, le temps d'une soirée. Et il y a ceux qui savent. Pour ces derniers, aucune questions à se poser. Seulement rien n'a ajouter.

Vendredi 8 octobre 2010 à 23:21


Le dit jeune homme chante :

" Et moi le loup je chantais pour elle. Je chantais à l'éternité qui est le seul temps qui existe vraiment. Ah ! J'aimerais tant pouvoir te confier ce que tu es en moi, cette flamme qui repose en mon coeur, ce feu immortel. C'est un besoin sans cesse plus important qui me pousse à hurler et quand j'y penses, je ne le comprends pas. Je ne peux le comprendre. Dans ce monde du rêve, là où les astres brillent de milles feux, je crois que l'amour n'a pas de véritable nom hormis celui d'absolu. Pourquoi toi et pas une autre, pourquoi moi, pourquoi est-ce que je t'aime ? Nul besoin de répondre, il n'existe pas de réponses. Ce qui est, est et reste à tout jamais.

Princesse, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais. "
Extrait du Chant à la princesse (le premier)

" Princesse, tu me dis qu'ils t'ont abandonné. Je ne t'abandonnerai jamais. Mais il se pourrait que les choses changent, en fait elles changeront. Personne ne me trouvera, personne ne me connaîtra mais je garderais un oeil sur toi. N'oublie pas ceci. Je n'imagine peut-être pas à quel point. Les choses n'ont pas encore changé. Peut-être que je me trompe, peut-être me verras-tu. Quoi qu'il en soit, je serais là. Avant de partir, c'est toi que je verrais. Et tu t'éloigneras du gouffre.

Princesse qui pleurais, qui pleure et qui souriras. "
Extrait de la Deuxième complainte à la princesse


Vous n'êtes pas obligé, mais allez voir quand même ..

Vendredi 8 octobre 2010 à 22:26


C’est soir je trouve que c'est beau Paris.
Sous ses airs de grisaille, de complexité, voir même parfois de supériorité, ça reste beau. Y a certes les odeurs étranges du métro mais aussi les sourires des passants, les troubadours aux coins des rues et puis toutes ces choses qu’on n’ignore encore et qui restent cachées bien au chaud en attendant. Toutes ces choses prêtes à être découvertes. Entre deux espaces clos on peu entrevoir quelques fois ces petits coins de paradis. Ces grands parcs à touristes, ces murets bien souvent planqués sous les tagues. Ces bancs, point de rencontre entre les différents voyageurs. C’est beau Panam et ce soir il m'appartient. Malgré le béton, il y a la plage. Malgré le bruit on devine les rires.
Combien d’heureux pour si peu de cœur blessés.
 
Parce que Paris c'est pas forcément en noir et blanc :
 
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Vendredi 8 octobre 2010 à 21:34


Aux environs du 04/08/2010



.. et c'est qu'il s'en passe en vingts ans.*

Etrange comme par exemple les choses sont tellement loin de se passer de la manière dont on le souhaitait. Il y a ces envies qui ne ce sont toujours pas réalisées. Celles qu'au contraire je n'aurais même jamais envisagées. Quelques part un amant perdu qui a pourtant si compter autrefois. Tous les autres que je n'ai pas vu venir. Des absences indesirrées. Des amis trouvés entre deux intercours. Une presque mariée. Un bébé qui heureusement arrivera bien plus tard. Un petit homme et son mettre soixante. La vie et toutes ses emmerdes. Vingts ans et tout ce qu'on dit dessus. Tout ce qui est vrai et qu'on laisse derrière nous. Tes grenadines, ses cerises, mes tournesols. Notre passé. Et bientôt notre futur.

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Pour l'occasion une photo de moi, profitez-en vous n'en verrez pas souvent parce que je ne suis pas du tout photogénique ... à moins que je ne sois plus très sorbe ... Et pour votre gouverne, là je n'étais vraiment plus très sobre :)

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