"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait." (Stendhal, Armance)
Lundi 22 juin 2009 à 22:27
Envie de sentir la présence masculine, l'odeur d'un homme qui s'agrippe à vous pour garder sa chaleur, les compliments fusant de toute part pour me couvrir d'assurance. Un seul nouvel homme, mon homme, qui se suffirait à mes défauts pour profiter au mieux de mes qualités. Imaginer pouvoir glisser sous des draps chauds, en ayant le corps de cet homme simplement beau parce que je l'aimerais et qu'il ne serait rien qu'à moi, venant se blottir, son corps nu contre le mien ...
Dimanche 21 juin 2009 à 15:26
Son sourire en éblouit plus d'un, humouriste à ses heures perdues, envahissant, un rien grincheux voir arrogant mais toujours en souriant.
Prêt à déplacer des montagnes, même pour si peu, une odeur rassurante, une sensation de déjà vue, action plus qu'adorables, et des preuves à l'appuies.
Cherche souvent l'impossible et l'atteint presque à chaque fois, se soucie de pas grand chose sauf de ce qui l'importe, se satisfait de tout.
Sa plus grande force c'est qu'il ignore tout cela.
PS ma playliste deezer ayant disparue à qui connaîtrait un site où l'on peut capturer le zigui qui permet de mettre de la musique dans mon article, merci de me montrer que vous existez.
Samedi 16 mai 2009 à 23:21
Je tien à toi.
Voilà et forcéméent ça n'a pas était dit plus tôt, ni écrit clairement, ni même au bon moment. Alors je proffite simplement de l'occasion pour me lancer, juste au cas où tu ne l'aurais pas déjà compris.
Récement je suis tombée sur un de tes ancien "Je t'aime", coincé entre les talents de Chuck Norris et les vieux numéros de téléphone. Je ne l'avais jamais remarqué avant et évidement je ne m'y attendais pas alors ça m'est un peu tombé dessus comme arrivée au mauvais moment. Que voulais tu que je réponde ? Moi aussi bien sûr, mais ça n'est plus à l'ordre du jour maintenant, et l'eau continue de couler sous les ponts.
J'ai eu beau me concentrer très fort mes yeux ne sont pas devenus turquoise pour autant.
Après tout rien n'est plus grave maintenant, les miens ne sont pas mal non plus. Pardonnez-moi simplement de tout.
Mercredi 15 avril 2009 à 21:14
Parce que ça ne sert pas à grand chose d'écrire sans être lu.
Ou juste au stricte minimum. On ne se rend pas toujours compte.
A quoi bon finalement, puisqu'ils parlent mieux que moi, de moi et d'eux que ce que je ne saurais jamais faire. Parce qu'ils s'y retrouvent et se comprènent là où je ne les suis plus trop. Parce que je m'y perds un peu parfois et même beaucoup trop souvent.
Parce qu'en commençant c'était pour tellement d'autres raisons qui ne ce sont pas non plus accomplies que ça n'en vaudrait plus la peine.
Alors je vait vous faire croire que je continuerais ailleurs, pour m'en persuader aussi, même si je n'y crois pas. Même si j'en ai envie.
Mais allez les voir vous, vous qui les connaissez déjà si bien, peut-être qu'un jour j'y posterais. Peut-être. Même si l'on sait bien que je n'oserais jamais.
C'est par ici, ici et là. Un peu de là et bas aussi même s'il l'ignore, mais pas seulement.
Allez les voir vous qui avez le temps, puisque ça vaut vraiment le détour.
N'allais pas croire que c'est un appel au secour, je coule chaque jour depuis que j'ai commencé.
Contente de ne pas vous avoir connu. Ou presque.
Etonnée d'avoir tennue le coup.
C'est tout.
En attendant qu'il coule à son tour.
Je vous dit à un autre endroit.
Et Pardonez moi pour le blabla que même pour lâcher prise je n'ai jamais su mettre de côté.
Lundi 6 avril 2009 à 20:55
J'ai le poignet droit en compote et c'est con parce je suis droitière.
Le bordel, soulevé par ces foutues lettres de motivations et dossiers à finir complets avant la fatidique date d'envoie, est enfin retombé.
Et tout va bien puisqu'il fait beau.
Je passais juste dire bonjour aux personnes qui ne me lisent pas.
Sur ce vive les anchois au jambon.