"Je ne joue pas avec les sentiments des autres, c'est plutôt mes sentiments qui se jouent de moi." (quelqu'un)

Mardi 13 mars 2012 à 3:38


Résolutions de tout en chacun :


Ne pas confondre se laisser aller, avec un grand manque d'assurance.
Ne mélangeons pas l'inexistence d'un but, et de ne pas trouver ce que l'on souhaite.
Ne parles pas de maturité, si tu ne sais pas toi même le définir sur plusieurs niveaux.
Surtout ne confonds pas le laisser aller avec quelqu'un qui n'a pas confiance en sois.

Excusez les de paraître fragiles, là où peut-être vous les voudriez plus fermes.
Sachez apprécier ce que vous avez, plutôt que de tout comparer avec le passé.
Ne dénigres pas quelques caresses qu'il sois, si c'est ce que tu semblais apprécier avant.
Excusons les parfois d'être si sensibles, lorsque derrière en fait, se cache bien d'autres choses.

Evites le terme de simplet, lorsque tu la sais capable de bien plus.
Tiens toi en au fait, lorsqu'il devient nécessaire de s'expliquer.
Ne vous justifiez plus, si depuis bien longtemps vous n'en éprouvez plus le besoin.
N'utilisez pas les mots tel qu' intelligence, lorsque l'on sait que les études ne font pas tout.

Pardonnez leur attachement, là où vous étiez quelqu'un à qui parler.
Je t'en prie ne mélanges pas tout, lorsque tu sais avoir déjà choisis.
Nous sommes désolée de vous avoir pensé heureux, lorsqu'en fait vous vous ennuyiez..
S'il vous plait pardonnez notre engouement, pour quelqu'un sur qui l'on pensait pouvoir compter.


Ne lui en voulais pas de redevenir elle même quand il lui arrivait d'avoir oublié ce que c'était.
Mais soyez heureux lorsque renfermée sur elle même, vous êtes enfin parvenu à vos fins !

Mardi 13 mars 2012 à 1:43

 

Beaucoup me pense trop niaise/naïve ou constamment amoureuse. Alors que non ou alors il faudrait préciser du monde en général. C'est sans doute parce que j'admire tellement les nuances, que je me sens parfois si vide de ne pas en faire partie. Non je ne suis pas trop bonne, trop conne, c'est juste que je "crois" en l'être humain. On est tous foireux et je le sais d'autant plus que je le suis pas mal. Je m'efforce de prouver à ceux qui ne s'aime plus, qu'ils se font de fausses idées, que ce sois sur eux même ou sur ce qui les entourent. J'aspire à montrer qu'il y a toujours de multiples façons de faire, à offrir, une part de bonté. Manière et Manière. Paradoxale lorsque l'on sait toute la confiance que j'ai en moi ! *rire* Je pense que l'on ne peux pas être foncièrement mauvais. J'aime les gens en général et suis persuadée qu'il existe en chacun la capacité de changer. Même si parfois cela prend son temps. Le plus appréciable c'est lorsque après tout le mal fait ou dit, l'on arrive encore à pardonner, s'excuser, à promettre et appliquer. Moi même j'essaie d'offrir autant de chances que l'accepte ma rancune et que faire ce peux. Je ne m'accroche ni désespérément ni éternellement bien que ce soit ce qui puisse paraître. Je tente simplement une, deux fois parfois plus si il me semble que ça en vaut le coup. Il m'arrive de me tromper, mais pas tant que ça - qu'on se le dise. Et lorsque de l'autre côté les sens s'activent, même après plusieurs mois passés dans l'oubli, quand l'Autre s'éveil à nouveau, c'est la plus belle satisfaction que l'on puisse me faire. 

Suis-je folle de constamment espérer ce jour meilleur ?
Je crois que je m'égare en déraillement.
 
 

Mardi 13 mars 2012 à 1:05

 


Il y a ce mec qui détruit un peu tout sur son passage. Les yeux rêveurs et pourtant vide, si son voisin venait à passer sous son nez, il ne le reconnaîtrait sans doute pas. Il a toujours le juste mot même si il n'en prononce qu'au stricte minimum. A juste titre sans doute. Pourquoi prendre la peine de s'expliquer aux ignares lorsqu'eux même se fichent au fond de ce qu'on aura à leurs dire ? Je n'ai jamais vraiment compris ce loisirs de certaines personnes, qui consiste à vomir paroles insignifiantes sur questions inintéressantes. On m'a toujours appris que lorsque l'on à rien à dire on se tais. Le silence n'est pas si terrifiant lorsque l'on y est habitué. Et je crois qu'il l'étais plutôt bien. 

Ce cher Mr et ses musiques plus qu'enivrantes.

Dimanche 11 mars 2012 à 18:36


Je ne le reverrais pas, je ne le retrouverais plus. De ces hommes de l'instant qui réveillent ce qui pourrissait depuis bien longtemps en nous, il a disparu aussi vite qu'il me fit face. Coup d'oeil à gauche, droite, le souffle lent, désespérée de ne pouvoir choisir sois même. Coïncidence, Espoir pesant ? Il reste certain qu'il n'en fallait pas plus pour prendre conscience du chemin parcouru. Cette fois c'est dit, je ne lui courrais pas après. A trop brasser de l'air, on ne fini jamais par décoller, alors pourquoi s'entêter ? C'était pas mal, les quelques secondes où ça pris forme. Un peu moins avant, un peu moins après, et pourtant pendant, ça reste pas trop mal. Le mieux est l'ennemi du bien, pour cela on n'ira pas plus loin. Peut-être qu'un jour, au hasard d'un mauvais cours des évènements, comme ce dernier, tu me réapparaîtras comme la première fois. Tellement plus que ce que tu n'es. Moins faux, moins lâche. Un peu moins laid en sois !

 portrait homme barbu allumant sa clope, Bearded man lighting his cigarette, © photo dominique houcmant

Vendredi 9 mars 2012 à 0:30


J'étais pas la fille qui dure, à peine bonne à réchauffer son lit. La fille des mauvais jours, celle que l'on change selon l'envie, que l'on ballade plutôt la nuit loin de tout ceux qui font nos vie.

En sois j'étais banale, la pas trop bête, la pas coincée. La "pas trop mal, jamais assez". Un rien coquette ça suffisait, mais parfois trop il me rentrait. Exubérante, souvent marrante, plutôt charmante, mais bien trop chiante. Comme il est dur d'assumer ce genre de phénomène !

Jamais trop stupide pour suivre une conversation, mais pas assez estimée pour avoir le dernier mot.
La fille du bar, la fille d'un soir, fallait choisir et ce fut Pile.

Je suis la fille qu'on aime pourtant bien mais c'est sans plus. Qu'on trouve parfois divine dans ses robes un peu trop courtes. C'est moi celle que l'on oublie, aussi vite qu'elle fut rencontrée. Celle qui compte un peu quand même, il faut le dire, mais pas assez.
 

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