Beaucoup me pense trop niaise/naïve ou constamment amoureuse. Alors que non ou alors il faudrait préciser du monde en général. C'est sans doute parce que j'admire tellement les nuances, que je me sens parfois si vide de ne pas en faire partie. Non je ne suis pas trop bonne, trop conne, c'est juste que je "crois" en l'être humain. On est tous foireux et je le sais d'autant plus que je le suis pas mal. Je m'efforce de prouver à ceux qui ne s'aime plus, qu'ils se font de fausses idées, que ce sois sur eux même ou sur ce qui les entourent. J'aspire à montrer qu'il y a toujours de multiples façons de faire, à offrir, une part de bonté. Manière et Manière. Paradoxale lorsque l'on sait toute la confiance que j'ai en moi ! *rire* Je pense que l'on ne peux pas être foncièrement mauvais. J'aime les gens en général et suis persuadée qu'il existe en chacun la capacité de changer. Même si parfois cela prend son temps. Le plus appréciable c'est lorsque après tout le mal fait ou dit, l'on arrive encore à pardonner, s'excuser, à promettre et appliquer. Moi même j'essaie d'offrir autant de chances que l'accepte ma rancune et que faire ce peux. Je ne m'accroche ni désespérément ni éternellement bien que ce soit ce qui puisse paraître. Je tente simplement une, deux fois parfois plus si il me semble que ça en vaut le coup. Il m'arrive de me tromper, mais pas tant que ça - qu'on se le dise. Et lorsque de l'autre côté les sens s'activent, même après plusieurs mois passés dans l'oubli, quand l'Autre s'éveil à nouveau, c'est la plus belle satisfaction que l'on puisse me faire.
Suis-je folle de constamment espérer ce jour meilleur ?
Je crois que je m'égare en déraillement.