Entre deux destinations, tu me retrouves presque toujours, la main levée, prête à frapper à ta porte. Sourire jusqu'aux sourcils, l'air de dire « Je t'ai manqué », toujours sur mon trente et un. Pourtant on connaît la limite à ne pas franchir, ce qu'il en est et où, n'iront jamais les choses. Pour un soir dans le mois, je suis ce que l'on pourrait dire ta chose. Terme dont certains s' injurions à le trouver barbare, alors que finalement il ne l'est pas tant que ça. On le sait, je ne suis tienne, que, parce que cette nuit mensuelle, tu es mien, que l'on accepte les règles du jeux et que cela nous conviens. Si les règles venaient à changer, sûrement que les joueurs aussi. J'imagine qu'en attendant l'on se contente de ce que l'autre a à nous offrir. Sans passer par quatre chemin, les choses à faire ce font comme il se doit, parfois plus pour le dire qu'autre chose mais c'est notre moment à nous, ma pause dans une vie inacceptable, ton air de repos entre deux gares. Alors profitons en !
Tout n'est qu'une histoire de dosage dans le cerveau.
Vendredi 30 décembre 2011 à 1:19
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