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Parce que quand tu nages dans le bonheur, il y a toujours un connard pour te sortir de l'eau. Même si pour sa défence, c'est vrai que c'est moi qui lui ai demandé de l'aide. C'est qu'un trop plein de bonheur parfois ça peut faire peur et c'est comme une envie de retomber dans quelque chose d'ancien qui nous submerge, dans ce monde pourris qui nous est si familier.
Un mal de tête incessant qui n'a fait qu'empirer depuis quelques heures. Des larmes qui forcent à la sortie de mes yeux, mais que ma peau déjà trop inondée tente d'empêcher de couler. Tant les ont déjà précédées. Une âme qui voudrait crier son désarroi au monde entier, à Dieu, si seulement cet enfoiré avait bien voulut exister, et lui seul sait que ça m'aurait presque fait plaisir et tant facilité la tache. Un cœur qui n'a qu'une envie c'est de se déchirer en deux mais que je retiens parce que les autres fois m'ont fait beaucoup trop mal pour que je le laisse faire à nouveau sans rien dire et qu'en ce moment une déchirure de plus ce serait vraiment une rupture de trop. Et je donnerai bien des coups de poing dans un coussin si seulement ma conscience ne me faisait pas savoir qu'il ne l'a pas mérité.
Il a de la chance celui là.
Quand on croit s'en approcher, la vérité ne fait que partir en courrant, et même en arrivant à pas de loup, elle nous entend venir de loin. J'aurais préféré qu'elle ne soit pas. Jamais. C'est trop demander apparemment. C'est les méandres d'un tout qui (en fait) n'a jamais été.
Les princes ne sont plus ce qu'ils étaient et il faut tout leurs expliquer, encore une fois je m'y suis prise trop tard ou alors trop mal ? Ca me revient. Des enfoirés qui se cachent derrière de jolies gueules d'anges, et c'est incroyable mais, j'ignorais qu'il y en avait autant. Les jolis minois qui dévoilent leur visage de truans plus chaque seconde, et je commence à me demander si ils l'ont jamais vraiment été. Et les gros « durs » qui me réconfortent en me prenant doucement dans leurs bras. Des pertes de mémoires si grosses que ça me rend triste, tu vois j'y pense malgré moi. Tout mon non-monde qui s'effrite encore un peu autour de moi.
Une chanson qui me trottine dedans depuis mon retour, qui est de je ne sais qui déjà, qui sort de je ne sais où, qui vient d'un genre que je ne connaissait pas, et que j'aime tellement sans savoir pourquoi. Dis Dreamer, finalement je veux bien que tu m'apprennes.
Au commencement il n'y avait que lui. Depuis ça c'est beaucoup trop compliqué à mon goùt. Puis j'ai arrêté de suivre. Et finalement je n'ai plus rien compris.
Comme une envie de remplir mon bain à rat bord d'eau bouilante, de m'y plonger entièrement ...
Et d'attendre de voir ce qui se passera ensuite.
"Il est loin le temps des buttes au soleil, des rires à midi et des lectures nocturnes." (Lilou)
Mardi 18 décembre 2007 à 21:55
Moments d'égarements
Par le Mardi 18 décembre 2007 à 22:12
C'est assez triste de voir sa....
Je te dirais volontier qu'il faut que tu te fasses confiance etc.... Mais l'heure n'est surement pas a sa... Du vécu que j'ai, je comprend ce qeu tu veut dire... Les apparences sont parfois trompeuse... Dérriére le plus belle ange se cache le pire des démons.. Je connais bien.
MAis faudrai pas que tu sombre dans une dépression profonde, remettre les pieds sur terre est parfois douloureux, mais on ne peut pas infiniment croire en une vie illusoire où tous n'est fait que de bonheur et de joie... Sa n'existe que dans les films... Et pourtant il faudra que tu continues a avancer malgrés les "connards" qui te mettront des batons dans les roues... Quand ton regard verra plus loin que l'instant présent, tu séchera tes larmes et sur tes lévres apparaitra un petit sourire en coin...
J'espére que ces quelques lignes te feront réfléchir.
Prend soin de toi.
Rasta-Fou-Rien.
Je te dirais volontier qu'il faut que tu te fasses confiance etc.... Mais l'heure n'est surement pas a sa... Du vécu que j'ai, je comprend ce qeu tu veut dire... Les apparences sont parfois trompeuse... Dérriére le plus belle ange se cache le pire des démons.. Je connais bien.
MAis faudrai pas que tu sombre dans une dépression profonde, remettre les pieds sur terre est parfois douloureux, mais on ne peut pas infiniment croire en une vie illusoire où tous n'est fait que de bonheur et de joie... Sa n'existe que dans les films... Et pourtant il faudra que tu continues a avancer malgrés les "connards" qui te mettront des batons dans les roues... Quand ton regard verra plus loin que l'instant présent, tu séchera tes larmes et sur tes lévres apparaitra un petit sourire en coin...
J'espére que ces quelques lignes te feront réfléchir.
Prend soin de toi.
Rasta-Fou-Rien.
Par le Mercredi 19 décembre 2007 à 21:13
j'ai lu ...mais bon que veux tu que je dise tu le sais tres bien ...mais j'ai peut etre une solution mais a quel prix ? je ne pense pas que tu es prete a l'entendre mais je m'y risquerai prochainement car il faut que tu saches pour les gesn agissent comme sa ! je te dirai ce que les gens pense mais ne disent pas mais je veux etre sur que tu veux l'entendre car tu vas pas beaucoup m'apprecierquand je te donnerai ces reponses mais bon je preferes sacrifier mon amitié avec toi et ainsi te voir peut etre heureuse que de rester sans rien faire et te laisser plonger la tete la premiere dans ta baignoire pleine d'eau chaude ......... bref je le saura au moment voulu mais sa ne sera jamais le bon moment pense s'y ! bonne soirée
Ayez une pensée vagabonde
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Honnêtement ça m'embête de te savoir ainsi parce que j'étais exactement pareille et je connais les ravages que ce genre de situation engendre.