Pieds presque nus elle déambule.
Aux quatres coins ils se séparent.
Elle fini encore par lâcher prise. L'espace d'un temps qu'elle dit. Juste le temps de remettre en ordre ce qui se doit d'être rangé.
C'est toujours la même chose, quand on ne la perd pas, l'on ne sait plus où donner de la tête. Et quand on pense la tenir bien ferme entre ses mains, il y a toujours des pensées brouillonnes pour réussir à s'échapper.
On s'effondre souvent pour un rien quand notre imagination nous fait des faux. Lorsque le plus petit des détail insignifiant passe malgré nous, pour quelque chose de bien plus grandissime. On arrive à douter si facilement de nos capacités.
Surtout quand on les pense inexistantes.