Parce que moi, vingts ans, la poussière me fait (déjà) peur.

Jeudi 21 février 2008 à 22:14


Mam'zelle ne sait plus qui elle est.
C'est vrai c'est pas nouveau. C'est juste remis à l'ordre du jour.
Et des jours à venir aussi.

Un mur. Une fille. Et une mauvaise perception. Aïe. Ca y est je me suis prise le mur. Flottement. Douleur. Là au fond. Plus au fond encore. Il souffre. Je souffre. De quoi ? Va savoir. Du fait qu'il y ai d'inscrit en gros caractères gras sur mon front "FOUTEZ-VOUS DE MA GUEULE". Encore. Toujours. Vous verrez c'est marrant. Peut-être. Mais c'est même pas sûr.
Ya que les cons qui changent pas d'avis. Faut croire que c'est pas les seuls. Il gueule pour moi. Qui ? Mon coeur pardis. Plus jamais ça. Tuez-moi s'il vous plait. Rester polie en toutes circonstences. Jamais d'habitude. Pourquoi pas aussi ? C'est vrai. C'est vrai. Perdre les mauvaises habitudes. Pourquoi partir. Parce qu'il le faut. Je sors les griffes. Je retiens mes mains. Ca sert à quoi alors de sorir les griffes ? C'est assez étrange de se rendre compte que l'on se bat contre sa douleur alors que l'on devrait plutôt s'occuper de celui qui nous là causé. On est con parfois. Un besoin de souffrir pour mieux se sentir vivre. Ouais, qu'est ce qu'on est con parfois. Et on fait perdurer cette douleur pour garder un peu plus longtemps encore cette impression de vie. Souffrir pour mieux vivre. Sentiment de vie qui n'est pas réelement
. Me coule entre les doigts. Pas que le sentiment. Pas que la vie. Pas que.

Et je l'avais vu de loin ce mur en plus. Je le voyais dréssé bien droit devant moi. Près à me défier. On m'avait dit de faire gaffe. Il me faisait face. On m'avait prévenu que ça ferait mal. Et pourtant. Si grand sous mes yeux que j'ai étais foutu de ne pas le voir. Ou alors de faire semblant. Oui. Mais j'ai quand même foncé dessus, à toute vitesse, les bras ouverts, sourire aux lèvres, la tête baissée.



Ah et puis je m'en contre balance fou hein. Sache le.
Même si c'est pas vrai. Même si c'est trop tard.

Moments d'égarements

Ayez une pensée vagabonde

Par lagrandemymy le Jeudi 21 février 2008 à 22:48
... Tu vois là je me sens mal. Parce que je me lis moi. Parce que je me revis, des mois en arrière et aujourd'hui encore les soirs où je repense à l'autre, à lui. J'en aurais encore la nausée. Connard de mur. Putain de vague. Moi j'appelais ça une vague. Mais le mur c'est bien aussi. L'un comme l'autre on sait que ça va faire très mal mais on reste là, et pire encore on avance vers cette douleur.

...

Il faut que je m'arrête là. Et que je ne te lise surtout plus avant d'aller me coucher.
 

Ayez une pensée vagabonde

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