Les mots s'envolent au son de ta voix. J'espère te faire face, mais sans prétention aucune je n'imagine plus rien. Quand demain se lèvera j'irai voir ce que m'apportent les nouvelles. J'avais écrit un petit poème pour symboliser tout ça, mais tu connais l'informatique, ça ne fonctionne jamais comme on le voudrait. Et tout à disparu. A ton image parfois j'aimerais me croire invincible. Etre persuadée que l'histoire finira bien. Pour l'instant j'essaie de me contenter de voir trois jours en avant, c'est bien suffisant. Alors que j'oublie ce qui me retenais à eux, je me découvre d'autres accroches. De celles si fraîche qu'elles n'ont encore rien de sûr, de fort, et de rassurant. Mais parfois on les préfère à celles trop rêches qui nous griffe la main, chaque fois que l'on voudrait aider. Je ne sais pas si je viendrai vous voir. J'ignore si je lui manquerais. C'est pour bientôt. Bientôt nous saurons.
La fin approche et je suis heureuse d'être aux première loges.