Elle, semble posséder tous les symptômes de la femme amoureuse.
Je dis femme parce que lorsque l’on voit le regard de certaines filles envers certains hommes, lorsque l’on voit leur visage s’illuminer à la simple approche de celui qu’elle croit être le bon, on ne peut plus alors les surnommer fillettes. Elle passe alors en un clin d’œil de la petite fille de neuf ans qui ne sait pas encore ce qui l’attend, à la grande dame qui a déjà parfaitement conscience que tout finira mal même si elle se laisse prendre au jeu malgré tout.
Je dis femme parce que lorsque l’on voit le regard de certaines filles envers certains hommes, lorsque l’on voit leur visage s’illuminer à la simple approche de celui qu’elle croit être le bon, on ne peut plus alors les surnommer fillettes. Elle passe alors en un clin d’œil de la petite fille de neuf ans qui ne sait pas encore ce qui l’attend, à la grande dame qui a déjà parfaitement conscience que tout finira mal même si elle se laisse prendre au jeu malgré tout.
Elle semble posséder tous les symptômes de la femme amoureuse, le seul souci est que cet homme je l'aime aussi. Elle le regarde tendrement lorsqu’il lui parle un peu trop près sans se rendre compte de rien et le serre juste un peu plus lorsque l’occasion se présente de le prendre dans ses bras. Elle aime à l’étreindre faiblement quand à l’abri des regards, dans une salle un peu trop sombre il s’avère qu’elle se retrouve étrangement à ses côtés.
Je les regarde de loin, je suis tristement jalouse simplement parce que je l’aime trop. Je l’aime un peu plus qu’un frère, un peu moins qu’un amant. C’est l’homme que je n’épouserais jamais, que j’admire plus que tout et que j’idéalise plus qu’il ne le faut. Elle dit l’aimer. Sûrement pas assez pour le mériter mais juste un peu trop à mon gout, juste ce qu'il faut pour m'agacer.