Elle a de bonnes joues, un air naïf mais on le sais, en la croisant, lorsque vous la regardez droit dans les yeux, vous lui donnez bien souvent moins. Malgré tout en bas et habillé vous oubliez tous les questionnement qui plus tôt vous posez problème. Un peu de maquillage, des atouts mis en valeurs, quelques verre de plus et vous avez vite fait de ne plus faire attention à rien. Même à son sourire triste. Le week-end pourtant quand elle rentre, elle n'est aux yeux de ses parents qu'un gamine sans trop de problèmes, qui ne fait pas de vagues. Il y a au quatre coins de son lit, éparse des peluches en tout genre, mais si l'on ouvre le tiroir de sa commode, celui du bas on trouvera de quoi ne pas se sentir accommoder en bonnes occasions. Il n'y a pas si longtemps que ça, sa mère encore laissait sa porte entrebailler pour faire passer un brin de lumière, tout en pensant à quel pourrait être le meilleur profil de gendre. Or hier comme souvent elle découchait. On souhaite son bonheur, elle le bousille un peu plus chaque jour. On lui espère un bel avenir, mais pour elle les cours, n'ont déjà plus d'importance. En face à face elle demande toujours plus de liberté, de confiance. Pourtant lorsqu'elle se retrouve seule dans son studio ridicule, elle appel insensémment au secours. Mais les murs sont épais et ses cris sûrement bien trop faible. Plus tard elle ressortira donc, chercher se réconfort, qu'elle ne sait plus où trouver.
Tout n'est qu'une histoire de dosage dans le cerveau.
Lundi 16 mai 2011 à 13:57
Elle a de bonnes joues, un air naïf mais on le sais, en la croisant, lorsque vous la regardez droit dans les yeux, vous lui donnez bien souvent moins. Malgré tout en bas et habillé vous oubliez tous les questionnement qui plus tôt vous posez problème. Un peu de maquillage, des atouts mis en valeurs, quelques verre de plus et vous avez vite fait de ne plus faire attention à rien. Même à son sourire triste. Le week-end pourtant quand elle rentre, elle n'est aux yeux de ses parents qu'un gamine sans trop de problèmes, qui ne fait pas de vagues. Il y a au quatre coins de son lit, éparse des peluches en tout genre, mais si l'on ouvre le tiroir de sa commode, celui du bas on trouvera de quoi ne pas se sentir accommoder en bonnes occasions. Il n'y a pas si longtemps que ça, sa mère encore laissait sa porte entrebailler pour faire passer un brin de lumière, tout en pensant à quel pourrait être le meilleur profil de gendre. Or hier comme souvent elle découchait. On souhaite son bonheur, elle le bousille un peu plus chaque jour. On lui espère un bel avenir, mais pour elle les cours, n'ont déjà plus d'importance. En face à face elle demande toujours plus de liberté, de confiance. Pourtant lorsqu'elle se retrouve seule dans son studio ridicule, elle appel insensémment au secours. Mais les murs sont épais et ses cris sûrement bien trop faible. Plus tard elle ressortira donc, chercher se réconfort, qu'elle ne sait plus où trouver.
Moments d'égarements
Par croisetonchemin le Mardi 17 mai 2011 à 15:32
Il y a vraiment de jolis textes sur ce blog. Souvent assez mélancoliques, mais il faut continuer comme ça !
Par Lundi 30 mai 2011 à 11:33
le merci bcp, c'est un ressenti presque continuel, mais je trouve qu'il en ressort de bel chose parfois
Ayez une pensée vagabonde
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