Il avait tout sans que cela ne l'atteigne. Je n'arrivais pas à concevoir qu'il y ai pu avoir quelques maux que ce soit. D'où auraient ce pu provenir ? Comment et puis surtout pourquoi ? Un soir le verre de trop avait fait son effet. Déjà, la soirée avait débuté pour lui de manière différente. Loin de se cacher dans les jupons de sa chère et tendre, il se voulait au centre de tout et de tous. Les mots en entraînant d'autre, j'ai appris que son monde de bien-aisance avait commencé à s’écrouler le jour où la donzelle en question, s'en était aller gambadé sur l'herbe du voisin. Craquage complet, il s'était enfui à l'autre bout du monde pour plusieurs mois espérant trouver au retour que tout avait une saveur différente. Le monde n'avait pourtant pas changé mais sa vision, s'étaient grande ouverte. Ses études, son devenir et « l'empire familiale ». Tant qu'il était accro, il supportait ce que d'autre lui enviait plus que tout. Cette vie toute tracée qu'on lui dédiait. Il ne s'était jamais dit qu'il n'en voulait pas parce qu'on l'avait formaté à ça. Il n'avait jamais même songé à ce qu'il pourrait y avoir comme voix secondaire. Il aura fallu un cœur brisé, plusieurs jours de larmes et un peu de temps pour réussir à s'échapper de tout ça. Il y avait découvert la liberté . Celle de faire ce qu'il voulait, mais de se prendre quelques murs parfois. Penser par et pour sois même et non plus en pensant constamment aux autres.