Ces regards qui s'entrecroisent et qui persistent parfois. Ces chocs brutaux et plus suptibles selon les secousses, selon la puissances des corps. Un malaise que l'on ignore mais qui subsiste quand même. Cette chaleur, celle de corps en sueurs, de deux corps en mouvements, de corps qui s'animent. La cadance qui s'active pour mieux faiblir plus tard, mieux repartir ensuite, selon leur bon vouloir. Les arrêts, l'attente, les frottements, les sourires un peu trop génés du mauvais moment. Les quelques accidents.
Les pensées vaguabondes ...
Le métro, Paris, ses heures de pointes.