Le mois de juillet n'est plus ce qu'il était. L'air est pesant mais sans ambiance. Paris s'endors mais ne se réveil pas. Dans le métro, les musiciens s'accordent même une petite pause. Les gens s'ennuient, les lumières ne dansent plus. On croirait presque que la ville s'est arrêté de respirer.
23h37, je profite d'un moment d'égarement pour demander une trêve. Un signe d'amour ne serait pas de refus.
Pour la peine, j'aurai une fin de câlin, un début de soupir et un milieu de pas grand chose.
Paris libères moi de tes bras. Je pense qu'il est grand temps pour moi d'aller rêver ailleurs.