"Dans un monde rempli de désespoir, il faut encore oser rêver." (un bel inconnu)

Lundi 25 novembre 2013 à 0:34

 
On disait de lui « quel homme à femmes », le Roméo des cœurs déchus, Don Juan pour vous servir mes dames. Il n’était pourtant rien de plus banal qu'un lion en cage, furieux de son état. Hurlant à la lune pour s'en sortir. Courant les jupons pour mieux cacher la vérité. Il ne savait réellement aimer comme l'on aime. Comprenant leurs regards, certes, il savait parer leurs ruses pour mieux retourner la situation en son sens. Il connaissait mieux que qui compte la symbolique de tel ou tel gestes mais finalement n'en tirait grand avantage. Fut un temps, il était le grand frère inexistant. Un peu rustre sur les bords mais au fond si doux. Ses mots il ne savait pas les mâcher quand à sa langue, elle persiflait plus de venin que de flatteries. Mais aussi étonnant soit-il, ne vociférait que de pures vérités. Celles qui vous piquent où ça fait mal car transcendantes de sincérité. Celles que l'on cache, jusqu'à celles dont ont ignore l’existence. Il était un peu tout ça. Charmeur mais bon amant. Frère impromptus mais bien présent. Lourd moralisateur mais compteur de belles histoires.

Mais depuis peu, Alex n'est plus. Et c'est bien mieux ainsi !

Vendredi 1er février 2013 à 2:07


Quand je me perds, Francis sait toujours faire le trie entre mes zones d'ombres et de lumières.

Mercredi 26 décembre 2012 à 23:04


J'entrevois demain, le coeur plus léger. Les non-dits on été assumés et déjà flotte dans l'air un sentiment de liberté. On y gagne toujours à être honnête et finalement bien plus vite que l'on ne l'imagine jamais. Tu respirais la sincérité des nos premiers échanges et c'est presque comme une évidence que je me suis laissé guider. Face à toi je n'ai aucune retenue, plus aucune gêne. J'apprécie simplement qui tu es. Je ne t'attendais plus et te voilà. Tu es la bouffée d'oxygène, qu'il me manquait pour repartir du bon pied !

Samedi 22 décembre 2012 à 23:29


La fin du monde, s'en est passée et l'on est toujours vivants .. Mais sérieusement doit - on vraiment s'en réjouir ?

Mardi 19 juin 2012 à 0:07


Contre tout attente les chiffres s'envolent sans que tu ne les retiennes plus. Tu dévisages les pages de ce que tu n'aurais jamais du noter. Pourtant si prude à une époque, te voilà de celles qui préfèrent cacher leur passé pour mieux vivre l'avenir. Tu fixes ces mots, presque semblables pour le plus ignorant de tous. Néanmoins différents et ce, malgré toutes leurs similitudes. L'un qui t'es presque inconnu selon les heures et les humeurs. Celui qui semble t'il t'accompagnera toujours au fond. L'Autre trop mûr et pourtant si jeune qui blesse encore à contre cœur. Les têtes de liste.

Il y a celui qui ne compte qu'à moitié, que tu as su dévier de se trajectoire première malgré les promesses des années. Ces mots de ceux qui ne sont que de passages, qui ont fait ton histoire sans en détourner le cour. Il y a celui qui, perdu parmi les autres, restera à jamais la première fois que tu n'attendais pas. Celui dons l'avenir ne fut jamais écrit par faute de goût, et ceux que tu aurais aimé voir plus présent. On distingue l'ancienneté de certains, face à la fougue des plus jeunes. Il y a ces quelques mots qui blessent face à ceux qui ne resteront que des bon souvenirs. On entrevois l'incertitude d'un temps brumeux, les confidences d'un air nouveau, l'incohérence de l'inattendu. En comparant rage et plénitude, bonté pure et coup de colère, tu ne saurais comprendre pourquoi parfois les petits plaisirs simples ont vus leur force décuplé dans la douleur, lorsque d'autres bien plus assumés, ne suffisaient à ton bonheur. Parfois tu sais tirer un trait sur 2 ans de ta vie, là où six te paraissent insurmontables. Parfois les choses se font en une soirée, quand d'autres fois les semaines n'y parviendront pas. Parmi les raisons que tu te crées et celles qui expliquent le fond des tourments, on distingue la mince ligne noire, de tout ce qu'il ne fallait pas faire. Parfois les dires et leur vérité tranchante. Les rires forcés, les envies trop pressantes. Distinguons les heures des secondes et c'est le chaos qui s'installera. Aucune souffrances ne sauraient compter plus qu'une autre, puisque l'âme déchirée, ne perçoit pas les différences. A armes inégales, mots et durées se confondent. Les temps se mêlent, confus, ils ne font qu'un. Au même titre il t'es alors impossible de déceler l'amitié de la passion qui te noie.

 

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