il y en a qui tente à échouer et d'autre qui échoue à tenter.

Mardi 19 juin 2012 à 0:07


Contre tout attente les chiffres s'envolent sans que tu ne les retiennes plus. Tu dévisages les pages de ce que tu n'aurais jamais du noter. Pourtant si prude à une époque, te voilà de celles qui préfèrent cacher leur passé pour mieux vivre l'avenir. Tu fixes ces mots, presque semblables pour le plus ignorant de tous. Néanmoins différents et ce, malgré toutes leurs similitudes. L'un qui t'es presque inconnu selon les heures et les humeurs. Celui qui semble t'il t'accompagnera toujours au fond. L'Autre trop mûr et pourtant si jeune qui blesse encore à contre cœur. Les têtes de liste.

Il y a celui qui ne compte qu'à moitié, que tu as su dévier de se trajectoire première malgré les promesses des années. Ces mots de ceux qui ne sont que de passages, qui ont fait ton histoire sans en détourner le cour. Il y a celui qui, perdu parmi les autres, restera à jamais la première fois que tu n'attendais pas. Celui dons l'avenir ne fut jamais écrit par faute de goût, et ceux que tu aurais aimé voir plus présent. On distingue l'ancienneté de certains, face à la fougue des plus jeunes. Il y a ces quelques mots qui blessent face à ceux qui ne resteront que des bon souvenirs. On entrevois l'incertitude d'un temps brumeux, les confidences d'un air nouveau, l'incohérence de l'inattendu. En comparant rage et plénitude, bonté pure et coup de colère, tu ne saurais comprendre pourquoi parfois les petits plaisirs simples ont vus leur force décuplé dans la douleur, lorsque d'autres bien plus assumés, ne suffisaient à ton bonheur. Parfois tu sais tirer un trait sur 2 ans de ta vie, là où six te paraissent insurmontables. Parfois les choses se font en une soirée, quand d'autres fois les semaines n'y parviendront pas. Parmi les raisons que tu te crées et celles qui expliquent le fond des tourments, on distingue la mince ligne noire, de tout ce qu'il ne fallait pas faire. Parfois les dires et leur vérité tranchante. Les rires forcés, les envies trop pressantes. Distinguons les heures des secondes et c'est le chaos qui s'installera. Aucune souffrances ne sauraient compter plus qu'une autre, puisque l'âme déchirée, ne perçoit pas les différences. A armes inégales, mots et durées se confondent. Les temps se mêlent, confus, ils ne font qu'un. Au même titre il t'es alors impossible de déceler l'amitié de la passion qui te noie.

 

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