Vendredi 20 novembre 2009 à 22:00
27/09
Son avenir semble bien incertain, quand le mien parraît déjà tout tracé. Il vaguabonde entre les coeurs fragiles et le causes perdues, alors que j'essaie un peu de tout oublier. Je flanne de ci et là, entre ma classe, son appart et ces lieux qui ne me sont pas encore familiers. Bientôt tout m'appartiendra. Je serais reine sur Terre, déesse parmis les dieux, et tous se prosterneront à mes pieds, les badeaux, comme tous les autres.
La bétise de nos soirées, c'est que l'on s'exprime souvent comme à nos premières rencontres, dans l'insouciance de ce qui nous entoure, et l'ignorence du reste. L'immoralité arrivera bien plus vite que ce qu'on ne le pense. Plus vite que l'hypocrisie ou que le mensonge. A l'instant même où je prend conscience de ce que j'écris je deviens immorale par mes gestes que je ne modifirais pour rien au monde malgré ça. Il ignore pour ainsi dire presque tout de ce qui se tramme autour de lui, et pour commencer dans ma tête. Tel un pion, il n'est à que pour assurer la sauvegarde de quelque chose de bien plus important encore, mon existance. Quand je l'emmpêche de partir plus tôt que prévue il a peur pour ses fesses et de la blonde qui lui parle méchament. Il ignore encore que je suis une grande adepte et spécialiste du mordage de geule pas nettes, et qu'elle est la première sur cette liste.
Rien de tout celà n'est divaguant, ce n'est que le compresement des bizaroïdicités qui se compresent dans ma tête.