Amoureuse dans l'âme. Salope à ses heures.

Lundi 23 novembre 2009 à 21:01



Ce que je ne publie pas.

Elle me manque quand je ne la voie plus,
quand je ne la sent plus,
quand elle me semble loin.

C'est pas que je l'aime c'est tellement plus encore.

Vendredi 20 novembre 2009 à 22:29


A une heure qui n'étais pas forcément la bonne.

C'est en allant me prommener dans un quartier plutôt lointain du mien que j'ai rencontré mon raconteur d'histoires. Parti voir un ami en "détresse", j'y ai trouvé un compteur. Son style à lui c'était pas les mythes africains, les vielles légendes urbaines ou les résumé de voyage, c'était le style d'un bonhomme qui semble déjà trop vieux pour son âge. Le genre qui discute souvent avec toi mais jamais de lui. Le distrait atypique. Le timide sans retenue. Celui qui sait plus de choses qu'il n'en a l'air.

Bien qu'étonné de ma visite, pour une fois l'inattendu à joué en ma faveure, et il a fini par se livrer à ce que l'on pourraît qualifier de "pauvre fillette qui n'y connait pourtant rien".
C'étais pas vraiment beau, juste des mots posés à la suite, sincères et touchants. Plein de sentiments. Certe pas forcément les meilleurs mais ceux qui émoustillent le plus.

La seule fois où il s'est arrêté c'était pour demander : "Bah, pourquoi tu pleures ?" Et tu penses je n'ai pas trouvé mieux que de lui répondre : "Mais c'est parce que ton histoire elle est simplement très belle, triste mais très belle. Et parce que malheureusement c'est bien connu, les belles histoires finissent mal en générales" ...

... sinon on n'aurait plus rien à raconter.

Vendredi 20 novembre 2009 à 22:00


27/09

Son avenir semble bien incertain, quand le mien parraît déjà tout tracé. Il vaguabonde entre les coeurs fragiles et le causes perdues, alors que j'essaie un peu de tout oublier. Je flanne de ci et là, entre ma classe, son appart et ces lieux qui ne me sont pas encore familiers. Bientôt tout m'appartiendra. Je serais reine sur Terre, déesse parmis les dieux, et tous se prosterneront à mes pieds, les badeaux, comme tous les autres.
La bétise de nos soirées, c'est que l'on s'exprime souvent comme à nos premières rencontres, dans l'insouciance de ce qui nous entoure, et l'ignorence du reste. L'immoralité arrivera bien plus vite que ce qu'on ne le pense. Plus vite que l'hypocrisie ou que le mensonge. A l'instant même où je prend conscience de ce que j'écris je deviens immorale par mes gestes que je ne modifirais pour rien au monde malgré ça. Il ignore pour ainsi dire presque tout de ce qui se tramme autour de lui, et pour commencer dans ma tête. Tel un pion, il n'est à que pour assurer la sauvegarde de quelque chose de bien plus important encore, mon existance. Quand je l'emmpêche de partir plus tôt que prévue il a peur pour ses fesses et de la blonde qui lui parle méchament. Il ignore encore que je suis une grande adepte et spécialiste du mordage de geule pas nettes, et qu'elle est la première sur cette liste.

Rien de tout celà n'est divaguant, ce n'est que le compresement des bizaroïdicités qui se compresent dans ma tête.

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Mercredi 11 novembre 2009 à 2:53


Quand il signait "ton lou(p)"
Quand il croyait mes bétises.
Ses "Je t'aime".

L'emprunte de son odeure.
Toutes les bétises qu'on pouvaient se dire.
Quand il me faisait rire.

Quand il était fière de moi.
Quand il s'inquiétait trop.
Quand il m'oubliait un peu.

Et tous les souvenirs qu'ils me restent.

Parfois, la mémoire s'affole un peu trop et remontent alors violement en surface certains souvenirs. Qu'ils nous emportent ou qu'ils nous appaisent quand on ne s'y attendais pas ça surprend toujours un peu. De savoir que malgré le vide comblé, il y a toujours quelques restes qui subsistent.

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