Quand il signait "ton lou(p)"
Quand il croyait mes bétises.
Ses "Je t'aime".
L'emprunte de son odeure.
Toutes les bétises qu'on pouvaient se dire.
Quand il me faisait rire.
Quand il était fière de moi.
Quand il s'inquiétait trop.
Quand il m'oubliait un peu.
Et tous les souvenirs qu'ils me restent.
Parfois, la mémoire s'affole un peu trop et remontent alors violement en surface certains souvenirs. Qu'ils nous emportent ou qu'ils nous appaisent quand on ne s'y attendais pas ça surprend toujours un peu. De savoir que malgré le vide comblé, il y a toujours quelques restes qui subsistent.