Monsieurs, vous me frustrez, je dirais même que vous m'offusquez à ne pas vouloir vous montrer. Lorsque vous persistez dans votre cavale, vous amusez à vous cacher de moi entre les passants. Un peu trop rapide à mon goût, je n'arrive plus à vous distinguer de tous ceux qui vous ressemblent tant. Dans la masse vous aimez vous faufiller, me perdre et me rendre folle. ... J'ai beau vouloir vous oublier, dès que l'on se rapproche un peu trop de votre station je vous recherche, je guette. Je vous attend et je vous surveille du coin de l'oeil.
Tout ça n'est pas grand chose mais déjà je trouve que je vous attend trop.