"J'adore parler de tout, de rien un peu moins." (inspiration chez krommlech)

Jeudi 3 septembre 2009 à 20:53


Mine de rien on n'a jamais dormi ensemble, même si j'ai l'impression que c'est tous les soirs le cas. C'est étrange. Tu t'imisses dans mon quotidien et rien ne t'arrête. Même les soirs où tout va bien. Cette nuit, tu t'es glissé près de moi, et on a discuté de tout de rien et surtout de toi - parce que j'aime beaucoup quand tu parles de toi - en regardant les étoiles en plastiques accrochées au plafond. On aurait dit deux enfants ... Tu étais plus incroyable que jamais, moi toute revêtue d'innocence. J'étais juste moi, et ça te suffisiait parce que tu n'avais pas besoin de tes grands bras pour me faire cracher le morceau. Mon ventre pour t'appuyer et ta tête posée dans le creu de mon épaule étaient on ne peu plus suffisant. Je me sentais tellement ... apaisée serait le mot le plus correcte. Tu me permettais de sentir la chaleur de ton cou et la douceur de ta peau.C'était franchement extatique. J'avais ce que je voulais : ton corps entre mes bras, ma tête et mes lèvres qui pouvaient à tout moment toucher la peau nu de ta nuque.
C'était tout bonnement renversant.

Moments d'égarements

Ayez une pensée vagabonde

Par roman-qui-n-existait-pas le Vendredi 4 septembre 2009 à 16:56
Voilà qui est étrange : à peine ai-je commencé à lire les premières lignes que j'ai songé à un poème que j'avais écrit jadis (envoyé à la RATP pour un concours de poésie... vu la qualité de ce qui a gagné, je suis bien content de ne pas avoir passé le premier tour). Et voici que je lis une phrase... Tiens donc, fais-toi une idée, c'est la première strophe dudit poème :
"
On croirait deux enfants qui dansent au soleil
Comme deux amoureux butinant sur un banc
Qui disent des mots doux au creux de leur oreille
Et chantent des flonflons sous un ciel rougeoyant
"
Ceci dit, c'est très agréable, un vrai message d'optimisme, de quoi soigner un vieux coeur blasé comme le mien ^^
Par Itinéraire d'un jeune paumé le Jeudi 10 septembre 2009 à 21:46
Comme quoi la vie n'est pas faite que de gris. Parfois certains moments nous permettent d'croquer l'instant. D'profiter d'chaques secondes, sans penser au lendemain. D'oublier un peu ce monde, tellement pleins de chagrin.
J'suis content que t'ai vécu un instant comme ça, je pense que tu le mérite. Une fille comme toi n'a le droit QUE d'être heureuse ! :) Tu remerciera la personne qui t'a procuré tant de joies pour moi ^^

Ps: Ho fait, je suis celui devant qui tu avais peint ton décor en carton pour les petits du BAFA ;)
 

Ayez une pensée vagabonde

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