C'est une phrase que j'ai dite toute le soirée.
Cette tente montée aux environs de dix heures passées, une fois la nuit tombée, notre défi personnel.
Les trois personnes de plus, coup du hasard et ce qui fait toute la différence.
Le surplux d'alcool dans le sang, le trop peu de bouffe.
Devenir fétichistes du pieds.
Ne jamais rencontrer cette barre qui apparaîtrait soit disant le lendemain matin.
Aller bien tout simplement.
Se sentir toujours entourée.
Nos conversations à sens cachées.
Tes oublis d'identitée.
Même que putin qu'est ce qu'elle était belle cette fleure.
Vive les rentrées.
( Souriez)
Tout n'est qu'une histoire de dosage dans le cerveau.
Lundi 3 septembre 2007 à 21:40
Moments d'égarements
Par le Mercredi 5 septembre 2007 à 20:47
une autre phrase que je disais souvent c'est "j'ai froid" mais c'est pas celles là que je cherchais ^^ pr la tente je veux bien essayer mais à mon avis je ne crois pas que ce soir faisable
Par le Samedi 8 septembre 2007 à 22:40
Euhh. La tu me flattes mais tu te plantes totalement, ça n'est que moi.
Ayez une pensée vagabonde
La discussion continue ailleurs...
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Et la prochaine fois on relève un nouveau défi: Monter la tente en 30 minutes dans le noir! (si si, j'suis sûre qu'on peut le faire)