Tu sais, quand ton cœur et ta tête ne sont plus coordonnés, qu'il y a les souvenirs qui remontent, les instants de partages et de doute. Entre autre des choix à faire. Ceux qui s'en foutent et puis le reste. Ce qui compte et ce qu'on oubli. Ceux qui y croient, face aux incertains. Ceux qui pensent tout savoir, les menteurs, les différents, ou à l'inverse toutes ces ressemblances. Quand tout se mélange.
Peut être trop humain pour ce monde de barges … Trop vivant. Avec ce soupçon d'honnête sincérité qui ferait un peu peur parfois, à ceux qui voulaient prendre des gants.
Tu te souviens, le jardin d'enfants, sans prise de tête, les bacs à sables ? L'ignorance, la simplicité. On se tient la main, et demain c'est le mariage. Les billes, les poupées, peluches et compagnie … La magie d'un baiser contre celle d'un câlin.
Trop terre à terre peut-être. Trop formaliste. Pas assez commode, la bonne famille, le bon passé. Sûrement pas les bons repères, les bonnes paroles au bon moment.
Sinon le « nom des gens », parce que c'est mignon, drôle de simplicité et que ça raconte une histoire.
Parce que c'est un peu nous et que ça fait du bien.