J'aime bien dire nous, pour parler d'eux.

Samedi 19 novembre 2011 à 10:39

 


Un sursaut, Un regard furtif. Le sourire de celui qui sait depuis peu ce qu'il veut. Un changement brut, mais espéré. Plus tôt que prévue certe, troublant. Mais enfin. Tu l'imagines sûrement différemment de ce qu'elle n'est vraiment. Il ne te faudra pas longtemps pour en prendre pleinement conscience. Mais avec un peu de chance c'est tout ce qui te plait en elle. Avec ses mots les choses différent. Entre ses bras le monde autour n'existe plus. Si peu de changements. Mais juste ce qu'il fallait pour retrouver une existence pleine de sens. Au détour d'un chemin, main dans la main, tu lui ferrais presque croire que c'est à nouveau possible. Cette musique que tu aimes déjà tant. Ces conversations pleines de fougues, d'envies, de chaûtages. Les autres dont elle n'a plus peur, et tous ceux à qui elle voudrait le montrer.
 
 

Moments d'égarements

Ayez une pensée vagabonde

Par un anonyme parmi les terriens le Mercredi 23 novembre 2011 à 13:53
La vie est un fleuve de tristesse, au dessus duquel on se construit quelques barrages pour émerger la tête de l’eau quelques instants. Mais la nature finit toujours par engloutir ces espoirs.
Systématiquement.
Comme une machine de torture qui te fouetterai dès lors qu’un sourire se dessine sur ton visage.
Alors il faut rester indifférent, se dire que de toute manière s’était écrit : « le bonheur est éphémère », et continuer à vivre comme si de rien n’était. Mais la haine reste toujours, la haine d’un esprit malade, d’un corps frustré, d’un homme jaloux et insatisfait. Peut-être faut-il se soigner contre ça, mais la fierté l’en empêche. Aujourd’hui encore le fouet a claqué sur sa figure, il en tremble encore et la marque est tellement sanglante qu’il a grand mal à la dissimuler. Et sa haine grandissante, un jour, même lui ne pourra plus la supporter.
Les gens se parlent, se promettent, se font confiance, et s’aiment disent-ils, mais jusqu’où ? Jusqu’à la première difficulté évidemment. Certains hypocrites attendent la seconde. Ils disparaissent ensuite, vous oublient, vous remplacent, vous rappellent que vous n’êtes qu’une pièce qu’il était grand tant de changer.
Et l’eau continue de couler sous les ponts, et tant que vous ne vous êtes pas noyé, les poissons de la déception continueront à vous tirer vers le fond, jusqu’à ce que la folie vous emporte.
Par purpleheart le Vendredi 9 décembre 2011 à 16:30
je ne t'avais jamais répondu ptt toi, mais je voulais te dire que tu écrivais vraiment très bien. Est ce la tristesse qui inspire toujours ou bien celà a t'il tjs été comme ça, caché quelque part ds un coin ? En tout cas j'aime. Pour le reste je garderais ma pudeur, les yeux bien que presque inexistant des passants me gênant d'un peu trop.
 

Ayez une pensée vagabonde

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