"Elle avait cet étrange visage d'enfant-adulte à vous briser le cœur." (Ernest Hemingway)

Mercredi 7 mai 2008 à 21:52



Oui je déconne.



Je déconne bien même.

Lundi 5 mai 2008 à 15:57

 vnreleirhg ir vorihg irhg iru cvirghirhgeiru ghrtgvy gygf ggyugyyg ygguy g  gf f fuffyf  f yf ytffftydtyt ty tf f ytftffttfytf yterez zez erdftyg opiuiuy iyuyyiuy iuy pyyyy_yypyyyyy t r r yr rte  ee ty r uy rttr yuy tt otyuttuyt tr yr y( yreuy rtuyt ty t ot it t t  tuytyutt yt yuttuyt yt yt yt ytytuyt yt yt yt t t ytetrer tytrt ru-tyut t ytytyt uyt yt t tytyt yut yut uyt t t t yrrezzzytdytdyt ztr yfgytfyt itk tryr(re e e euy uyly uyluy ly liuy liuy lui yy marre de n'être qu'un écran face à vos yeux uyitritvbrrbryb iy tyt tt ytytirt iytfyiffufyfuyftufft f ftjhguyt ty yt tydf tydtyd ydrd rd djyg jhj kyutut t out uyyyyyy yuyti tr terrteserdrudurd urd  drdu rdu utr rtd trd trd trd trd trd trdtdr tduiyt uit yh uyhuh uihi oh h uyuytu r ruyy tr trytr ytryryttrytr ytrtryryrtrtrtr tr tyr ty rytr  ytrtr trertetre tre rerere e reyre trererzezety t rfjtrjht tr yt jr jhtr  jr tr yerere try ytr uyte rt erte ut ytr ytr ytr yt ry ut ytyrtyer

Dimanche 23 mars 2008 à 19:30




Et il m'a fait pleurer ce con.

Si on me l'avait dit, que je pleurerais plus de ma betise que de la sienne, si on me l'avait dit j'aurais explosé de rire et je me serait moquer, non plus vulguaire, foutu de la gueule de l'incongru en question et de ces déblatérations à la con justement.
Mais là je pleure.

J'aime pas pleurer parce que ça me rappele de mauvais souvenirs. O
ui parce que moi je n'ai jamais pleurer de joie.
Je pleure parce que ce con il a  encore une fois mal compris. Et là je souris les larmes aux joues parce qu'il a toujours mal compris. Quand je lui envoyais des "signaux", quand je lui disais sincèrement quelque chose de gentil, quand je lui donnais l'heure d'un rendez-vous.

Je pleure parce qu'il croit que c'est de lui que j'ai peur mais ce serait bien trop simple.
Encore.
C'est de moi dont j'ai peur pour une fois. Peur de ne pas lui faire confiance quand justement il me dit tout. Peur de faire une(s) connerie(s) maintenant qu'il est devenu sage. Peur de lui faire du mal maintenant qu'il a arrêté de m'en faire. J'ai peur de ne plus l'aimer maintenant qu'il cesse de me reppousser.

Il m'a fait pleurer ce con. Non mais je vous jure quel con. Et demain j'irai le voir tout sourire, parce qu'il en a besoin.
Parce que ça fait du bien.
Parce qu'il le faut bien.

 

 

 



Et oui je vais bien putain de bordel de merde. Arrêtez de me faire chier avec ça. Ne vous en faites pas, quand ça ira mieux je vous tiendrez au courant.
Et désolée mais ça fait vraiment un bien de ouf. =)

Jeudi 21 février 2008 à 22:14


Mam'zelle ne sait plus qui elle est.
C'est vrai c'est pas nouveau. C'est juste remis à l'ordre du jour.
Et des jours à venir aussi.

Un mur. Une fille. Et une mauvaise perception. Aïe. Ca y est je me suis prise le mur. Flottement. Douleur. Là au fond. Plus au fond encore. Il souffre. Je souffre. De quoi ? Va savoir. Du fait qu'il y ai d'inscrit en gros caractères gras sur mon front "FOUTEZ-VOUS DE MA GUEULE". Encore. Toujours. Vous verrez c'est marrant. Peut-être. Mais c'est même pas sûr.
Ya que les cons qui changent pas d'avis. Faut croire que c'est pas les seuls. Il gueule pour moi. Qui ? Mon coeur pardis. Plus jamais ça. Tuez-moi s'il vous plait. Rester polie en toutes circonstences. Jamais d'habitude. Pourquoi pas aussi ? C'est vrai. C'est vrai. Perdre les mauvaises habitudes. Pourquoi partir. Parce qu'il le faut. Je sors les griffes. Je retiens mes mains. Ca sert à quoi alors de sorir les griffes ? C'est assez étrange de se rendre compte que l'on se bat contre sa douleur alors que l'on devrait plutôt s'occuper de celui qui nous là causé. On est con parfois. Un besoin de souffrir pour mieux se sentir vivre. Ouais, qu'est ce qu'on est con parfois. Et on fait perdurer cette douleur pour garder un peu plus longtemps encore cette impression de vie. Souffrir pour mieux vivre. Sentiment de vie qui n'est pas réelement
. Me coule entre les doigts. Pas que le sentiment. Pas que la vie. Pas que.

Et je l'avais vu de loin ce mur en plus. Je le voyais dréssé bien droit devant moi. Près à me défier. On m'avait dit de faire gaffe. Il me faisait face. On m'avait prévenu que ça ferait mal. Et pourtant. Si grand sous mes yeux que j'ai étais foutu de ne pas le voir. Ou alors de faire semblant. Oui. Mais j'ai quand même foncé dessus, à toute vitesse, les bras ouverts, sourire aux lèvres, la tête baissée.



Ah et puis je m'en contre balance fou hein. Sache le.
Même si c'est pas vrai. Même si c'est trop tard.

Samedi 15 décembre 2007 à 16:54



On m'a fait remarqué que je n'avait pas écrit depuis le onze, je crois que c'est le premier qu'elle voulait dire. Je ne suis pas sûr de vouloir te remercier.
Quelques nouvelles de mon monde.

En fait, on s'est jamais trop entendu nous deux. On a essayé de jouer le jeu quelques fois, notre jeu. De faire comme si, comme si tout allait bien entre nous. Sans succès.
Déjà petite tu commençais à me sortir par je ne sais où, déjà de moins en moins on se supportait. Déjà on ne se comprenait plus. Moi j'ai tout de suite compris. Toi, je crois qu'il te faut encore un peu de temps. Alors t'as préféré mettre ça sur le dos de ma crise d'adolescence, c'était pas mal trouvé mais, "hé ho réveilles toi, ça fait bientôt cinq ans que ça dure !".

J'imagine que je l'ai toujours su dans un recoin de ma tête, même quand je faisais des efforts, qu'ils ne rimeraient à rien. Alors j'ai pas cherché à te changer. En revanche, toi si. Ca partait pourtant d'une bonne intension, j'en suis certaine, c'est vrai mais comme le dit si complexement ma prof de philo, il arrive que les pires résultats ne viennent pas d'une mauvaise intention, comme on le pense toujours, mais qu'au contraire, il arrive que ce soit les bonnes qui fassent le plus de ravages. Dans notre cas, je crois que tenter de recoller les morceaux serait faire un effort trop surhumain pour le si peu qu'il nous reste, on se fatiguerait pour rien, et à la longue, ce ne serait sûrement pas rentable.
Et tout, n'aurait servi à rien.

Je ne t'en veux pas tu sais, ni à toi, ni à moi, ni personne. Parce qu'après tout ce n'est que toi et je te connais que trop bien maintenant, et puis il semblerait qu'on soit condamné à rester lié à la vie à la mort, alors autant ne pas se faire la guerre, tu ne crois pas ? Par contre faudrait que tu comprennes maintenant, que doucement tu commences à t'y faire. Sinon ça va devenir de plus en plus dur. Et pour toi, et pour moi.
Pour nous et pour les autres aussi.


Hier midi :
- "Quand on était petit c'est fou ce qu'on pouvait être niais et si con en même temps.
- Maintenant on a grandit et mûris un peu aussi. Enfin je pense.
- Ouais, mais on est toujours aussi con. Voir pire."

Et tu n'as même pas compris encore que j'avais fait tout ça pour nous.

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