Il était une fois moi, princesse des temps modernes.

Jeudi 15 octobre 2009 à 19:54


17/09
premier jour de classe

C'est simple là-bas c'est une manière de faire, de vivre, et de penser. C'est une vision. Bien plus en fait c'est Leur vision et rien d'autre. Le reste c'est pas que c'est insignifiant mais c'est pas grand chose. Juste tolérable Parce que nous, l'élite, on n'a pas la grosse tête, non non au contraire, on montre notre superiorité en tolérant ceux qui n'en vallent pas la peine, on s'en accomode.

C'est du bourrage de crâne intensif,
par hypocrisie, et c'est permanant.


 

Mercredi 20 mai 2009 à 21:16

 
Mentir en toute connaissance de cause.
A quoi bon quand rien n'est à gagner ou à perdre ?
On ne peut pas agir à la place d'autrui et prendre parti n'améliore rien

Dimanche 28 décembre 2008 à 19:45


 
On s'echauffe, on s'engeule ou pas d'ailleurs. Le ton monte, on ne se comprend pas ou plus mais c'est pareil. Le coeur se noue et l'on ne sait plus où donner de la tête. Mais parraît que tout va mieux après alors j'attend.
 
Après tout, c'est la seule chose que je sache vraiment
faire.


Jeudi 2 octobre 2008 à 21:25

 



Je le vois là-bas, s'enfuir, comme si de rien était. Parce que trop souvent il croit que fuir c'est la meilleure chose. Pas forcément fuir le danger, quoi que si, en quelque sorte, mais surtout fuir la réalité. Alors on le voit casque aux oreilles, écharpe enroulée, à s'éloigner au loin. Parraîtrait que y a que ça de vrai. Il pense dur comme fer que si l'on souri c'est que l'on ment. Que si l'on pleure c'est que les choses sont pires encore. Mais tout est toujours bien plus grave sous la carapace. Pour tout le monde. Quoi qu''ils en disent. Quoi qu'on en pense.
Il faut juste en prendre conscience.

Faudrait penser à lui expliquer, quand même, que tout ne fonctionne pas comme ça. Que y a des choses simples aussi parfois. Bon il y en a des plus compliquées aussi, mais il y en a des simples, c'est sûr. Je crois. Enfin moi je dit ça mais je parle des autres hein parce que la simplicité chez moi c'est un mot qui demeure inconu.
'fin bon, il s'en va de toute manière, et les possibilités de joindre les deux bouts avec lui, sous le bras.

Bientôt je céderais, il s'y attend, ne fait rien contre. Je ne facilite pas les choses certe mais tout de même. Le voir là-bas, s'enfuir, comme si il ignorait tout. Qu'il n'y a pas que lui qui souffre. Que je suis plus bornée qu'il ne l'est. A tord il a fini par se mettre dans la tête que fuir pouvait rester la meilleure chose à faire.
Qui n'en est plus certain ? On ne s'en accomode pas, c'est tout.

Lundi 7 juillet 2008 à 22:38

 


Tu cris au déshonneur seulement quand il te concerne. Tu prônes l'égalité, et dit que tu es différent. Tu te moques d'eux sans relache mais tu n'as jamais rien dit. Et quand on dit que tu ments, toi tu n'as jamais tord. N'empêche qu'il faut te respecter.
Je m'interdie de pleurer en ta présence car c'est à peine si ça te touche.




- Quand j'étais petite je pensais que les étoiles n'étaient en fait que des milliers d'ampoules qui ne tennaient dans le ciel que par je ne sais quel miracle, et qu'un homme, payé pour ce travail, les alumait chaque matin et les éteignait chaque soirs.

- Plus maintenant ?

- Maintenant je sais que ce ne sont en fait que des boules de différents composés gazeux et qui par l'action de différentes forces attractives et graitationnelles sont capable de "voler" dans le ciel. J'ai fini par apprendre que personne n'était payé pour les allumer. Qu'au contraire elles l'étaient tout le temps et que la raison pour laquelle on ne les voyait pas la journée était que le soleil à lui seul produisait beaucoup trop d'éclat.
Alors forcément le rêve et la magie là-dedans ...

- Sont restés coincé dans ta tête !

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