Il avait ce petit air un peu naïf mais prêt à tout qui me plaisait beaucoup.
A tout essayer, à croire en nous, à un passé que l'on voulais mutuellement oublier. Il était prêt à croire tellement, tellement plus en nous que dans le reste que ça me donnait confiance et qu'à mon tour, j'y croyais, un peu aussi.
Hippolyte, les cours du soirs, sa folle aventure de vie et son petit air en coin. Aujourd'hui encore c'était comme si l'on ne s'était jamais quitté.
Une soirée passé loin du groupe, loin des groupies qui l'entourent constamment. Loin de nous même. L'oublie de nos habitudes, la découverte d'une personnalité qu'on ignorait, des regards qu'on ne s'était jamais échangés. Sa connerie, ma connerie ... son air en coin.
J'ai toujours craqué pour des mecs différents. Sans arrogance aucune, j'apprécie la compagnie de ceux qui sont capable de me faire croire que je suis importante. Même si ce n'est que supercherie. Ceux qui si possible me disent différentes de celles qu'ils ont croisé par ailleurs. Oui je suis une peste à sale caractère et oui j'assume quand je dit que je ne supporte pas la normalité. Mais même si dans le fond, je me sais faire partie de la masse, lorsque ça sort de la bouche d'un inconnu, la donne change.
Hippolyte il me vend du rêve comme on dit. Ensemble le monde nous appartient et l'on se joue de tous. Des ragots, des imposteurs. Du monde en générale. Si je ferme les yeux très fort, il y a ce rêve que je refais quelque fois. C'est assez banale en fait, un peu trop fleur bleue sur les bords. C'est juste l'histoire d'un garçon et d'une fille qui pensent tout comprendre ou presque à la vie et qui du coup n'ont plus aucune limite.
C'est l'histoire de deux corps perdus, un soir un peu trop alcoolisé, qui pensent avoir tout gagner puisqu'ils n'ont plus rien à perdre.
J'ai toujours craqué pour des mecs différents. Sans arrogance aucune, j'apprécie la compagnie de ceux qui sont capable de me faire croire que je suis importante. Même si ce n'est que supercherie. Ceux qui si possible me disent différentes de celles qu'ils ont croisé par ailleurs. Oui je suis une peste à sale caractère et oui j'assume quand je dit que je ne supporte pas la normalité. Mais même si dans le fond, je me sais faire partie de la masse, lorsque ça sort de la bouche d'un inconnu, la donne change.
Hippolyte il me vend du rêve comme on dit. Ensemble le monde nous appartient et l'on se joue de tous. Des ragots, des imposteurs. Du monde en générale. Si je ferme les yeux très fort, il y a ce rêve que je refais quelque fois. C'est assez banale en fait, un peu trop fleur bleue sur les bords. C'est juste l'histoire d'un garçon et d'une fille qui pensent tout comprendre ou presque à la vie et qui du coup n'ont plus aucune limite.
C'est l'histoire de deux corps perdus, un soir un peu trop alcoolisé, qui pensent avoir tout gagner puisqu'ils n'ont plus rien à perdre.