Vérité ou vérité ?

Mercredi 7 avril 2010 à 22:27


le 7 avril .010
aux environs de 21h30
Etrange ce besoin que l'on a de fixer des dates bien précises, lorsque l'on sait que ce n'est en fait qu'un jour comme le autres.

C'est marrant, quand j'enfonce la mine de mon compas sur ma peau, il arrive un moment ou je ne sens plus rien. Et comme je ne resens plus rien, j'appuie plus fort. Et plus j'appuis moins j'en sens, et moins j'en sens plus j'appuie. Evidement. Etrange. Comme si mon corps se m'était automatiquement sur pause. Pour qu'a grande douleure morale il nous épargne au moins la physique.

Mercredi 7 avril 2010 à 22:27



On n'écrit pas assez sur la douleure physique et quand on le fait plus personne ne commente. C'est étrange non ? Et comme personne ne commente, on n'écrit moins. Et comme on n'écrit moins, les gens oublient, et de ce fait ont moins à dire puisqu'ils ne savent plus ce que c'est. C'est étrange. Comme si notre cerveau se m'était automatiquement en pause. Pour qu'a trop grande incompréhension, on ne se concentre que sur l'explicable.

Marrant, comme les choses se rejoignent parfois.

Mercredi 7 avril 2010 à 1:19


Dis moi quoi faire quand je perds de mon assurance face aux yeux de tout un groupe d'inconnus.
...

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à part m'enfuir ...
 

Lundi 5 avril 2010 à 20:58


D'abord je te raconte une histoire, ensuite on verra.
Aujourd'hui je vais "bien" comme on dit, je nage presque dans le courrant, j'assume un peu tout et n'importe quoi mais j'assume. Je vais me marrier. J'ai couché avec un puceau pour son anniversaire et heu une de mes meilleures amies par la même occasion ... voilà voilà. Mangé trois clown ce matin, tappé dans une vielle qui n'avançait pas avec son caddie et j'ai liguoté un con à un poteau, juste pour rire.
Ce qu'il y a de bien avec les blogs, les sites et ce laisser récurent que l'on a tous à s'inventer une partie de notre vie, c'est que tu peux bien te lâcher, raconter ce qu'il te plaît, devenir super héro, la seule chose de sûr, c'est que personne ne décèlera jamais le vrai du faux.  Alors oui c'est vrai, j'ai déjà mangé du serpent, je suis bisexuelle, j'ai peur dans les forêts la nuit, je suis dépréssive, Je mors pour me défendre, je me fais du mal pour me détendre. Mais qu'en saurez vous jamais ? A force de se câcher derrière un écran, on n'en oublierait presque le vrai du faux, les relations physiques des virtuelles. Les sentiments sincères de ceux joués.
A force de jouer aux salopes je risque réellement d'en devenir unes, une de celles qui quoi qu'elles en disent n'assument pas totalement, le soir, seule, les yeux bouffient, le visage coincé entre les draps de satin et l'oreillé, qui était blanc, avant. 

Lundi 5 avril 2010 à 12:42


Les plus grands calculateurs ont bien souvent les plus belles gueules.

C'est bête, j'allais pourtant très bien avant d'apprendre à te connaître.

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